Les paroles de la chanson
« Zone chaude, môme »
Hubert-Félix Thiéfaine
{Refrain:}
Ta zone est chaude, môme
Ta zone est chaude, môme
Ta zone est chaude, chaude, chaude
Ta zone est chaude, môme
Je n’sais pas si tu viens d’un continent perdu
Ou bien si t’es tombée d’une comète inconnue
Mais j’crois qu’il était temps que tu me prennes en main
J’ai cru mourir de froid chez mes contemporains
{au Refrain}
Et c’est comme un soupir après cent triples croches
Quand l’pianiste s’endort devant son double scotch
Dans ces bastringues d’automne où ça brame à minuit
Les vieux cerfs encornés dans les bras des ladies
Chaudes, chaudes, chaudes!
J’en oublie la moiteur de ces ports tropicaux
Où ça sentait la gnôle et chauds les ventres chauds
A chercher le Pérou sur ma radio-inca
J’ai trouvé la fréquence que tu n’attendais pas
Oh chaude!
Je n’sais si tu viens d’une ville ultramarine
Ou bien si tu descends d’une planète androgyne
Météorite in love, tu vois, je vole aussi
En reniflant d’un œil tes bas sur le tapis
{au Refrain}
J’vais p’t-êt’ encore attendre avant d’mourir d’amour
J’entends des cons qui causent d’un éternel retour
Et j’ai pas très envie d’repartir à zéro
J’ai pas tout bien compris, comme c’est bon quand c’est chaud
{au Refrain}
Ta zone est chaude, môme
Ta zone est chaude, môme
Ta zone est chaude, chaude, chaude
Ta zone est chaude, môme
Je n’sais pas si tu viens d’un continent perdu
Ou bien si t’es tombée d’une comète inconnue
Mais j’crois qu’il était temps que tu me prennes en main
J’ai cru mourir de froid chez mes contemporains
{au Refrain}
Et c’est comme un soupir après cent triples croches
Quand l’pianiste s’endort devant son double scotch
Dans ces bastringues d’automne où ça brame à minuit
Les vieux cerfs encornés dans les bras des ladies
Chaudes, chaudes, chaudes!
J’en oublie la moiteur de ces ports tropicaux
Où ça sentait la gnôle et chauds les ventres chauds
A chercher le Pérou sur ma radio-inca
J’ai trouvé la fréquence que tu n’attendais pas
Oh chaude!
Je n’sais si tu viens d’une ville ultramarine
Ou bien si tu descends d’une planète androgyne
Météorite in love, tu vois, je vole aussi
En reniflant d’un œil tes bas sur le tapis
{au Refrain}
J’vais p’t-êt’ encore attendre avant d’mourir d’amour
J’entends des cons qui causent d’un éternel retour
Et j’ai pas très envie d’repartir à zéro
J’ai pas tout bien compris, comme c’est bon quand c’est chaud
{au Refrain}