Les paroles de la chanson
« Yalla ! »
Idir
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Sa caverne aux trésors
Des croix, de l’or
Des rayures pour les zèbres
Des conseils
Pour pas mourir dehors
Le fruit de nos recels
Et petits pochons d’herbe
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Sa chambre de derrière
Des vieilles chaises en fer
Rapatriées du bled
Des raisins, des amandes
Un tapis de prière
Le Coran et la Bible
Comme cales d’étagère
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Gare d’arrêt de nos fugues
Suspension, interlude
De nos vies corde raide
Des mots durs, voix du Sud
Qui dit "La vie est rude’"
Mais avec certitude
En tôle, encore plus laide
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
A éteint ses lumières
Passé au bulldozer
Et arraché le cèdre
Mais comme a dit le maire
C’est mieux pour les affaires
Faut passer au "Karcher"
La racaille et la merde
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Est une tour commerciale
Pour bon contribuable
C’est net, je le concède
Entre commissariat et le centre social
Le silence est royal
Mais qu’est-ce qu’on s’emmerde!
Yalla!
Sa caverne aux trésors
Des croix, de l’or
Des rayures pour les zèbres
Des conseils
Pour pas mourir dehors
Le fruit de nos recels
Et petits pochons d’herbe
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Sa chambre de derrière
Des vieilles chaises en fer
Rapatriées du bled
Des raisins, des amandes
Un tapis de prière
Le Coran et la Bible
Comme cales d’étagère
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Gare d’arrêt de nos fugues
Suspension, interlude
De nos vies corde raide
Des mots durs, voix du Sud
Qui dit "La vie est rude’"
Mais avec certitude
En tôle, encore plus laide
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
A éteint ses lumières
Passé au bulldozer
Et arraché le cèdre
Mais comme a dit le maire
C’est mieux pour les affaires
Faut passer au "Karcher"
La racaille et la merde
Yalla! {x5}
Le petit boui-boui "Chez Hamed"
Est une tour commerciale
Pour bon contribuable
C’est net, je le concède
Entre commissariat et le centre social
Le silence est royal
Mais qu’est-ce qu’on s’emmerde!
Yalla!