Les paroles de la chanson
« Voyager en soi-même »
Jean-Louis Aubert
Voyager en soi-même
Comme sur un océan
Embrasser les tempêtes
Et les soleils levants
Rencontrer dans les plaines
D’anciens rêves d’enfants
Et toujours espérer retrouver
Ses frères et ses sœurs de l’autre côté
S’étourdir de larmes
Jusqu’à l’insouciance
Regarder ses pensées
Comme des trains en partance
Etre le vent, être l’oiseau
Etre mort, être vivant
Et toujours espérer retrouver
Ses frères et ses sœurs de l’autre côté
Ami va là-bas
Là-bas sont nos richesses
Ami va là-bas
Là-bas sont les ivresses
Ami va là-bas
Ramasser nos tristesses
Voir le singe, le sage et le fou
Et reviens-nous
Voyager en soi-même
Et parler aux étoiles
Chercher le soliflore
Au bout du soliloque
Près des monts analogues
Accoster sa pirogue
Et toujours retrouver ses frères
Et ses sœurs de l’autre côté
Ami va là-bas
Là-bas son nos promesses
Ami va là-bas
Là –bas sont les prouesses
Ami va là-bas
Pour d’intimes caresses
Voir le singe et le sage
Et surtout reviens-nous
Voyager en soi-même
Comme sur un océan
Embrasser les tempêtes
Et les soleils couchants
Ne pas devenir fou
Ne pas se mettre à genoux
Mais toujours espérer retrouver ses frères
Et ses sœurs de l’autre côté
Oui toujours retrouver
Ses frères et ses sœurs
De l’autre côté.
Comme sur un océan
Embrasser les tempêtes
Et les soleils levants
Rencontrer dans les plaines
D’anciens rêves d’enfants
Et toujours espérer retrouver
Ses frères et ses sœurs de l’autre côté
S’étourdir de larmes
Jusqu’à l’insouciance
Regarder ses pensées
Comme des trains en partance
Etre le vent, être l’oiseau
Etre mort, être vivant
Et toujours espérer retrouver
Ses frères et ses sœurs de l’autre côté
Ami va là-bas
Là-bas sont nos richesses
Ami va là-bas
Là-bas sont les ivresses
Ami va là-bas
Ramasser nos tristesses
Voir le singe, le sage et le fou
Et reviens-nous
Voyager en soi-même
Et parler aux étoiles
Chercher le soliflore
Au bout du soliloque
Près des monts analogues
Accoster sa pirogue
Et toujours retrouver ses frères
Et ses sœurs de l’autre côté
Ami va là-bas
Là-bas son nos promesses
Ami va là-bas
Là –bas sont les prouesses
Ami va là-bas
Pour d’intimes caresses
Voir le singe et le sage
Et surtout reviens-nous
Voyager en soi-même
Comme sur un océan
Embrasser les tempêtes
Et les soleils couchants
Ne pas devenir fou
Ne pas se mettre à genoux
Mais toujours espérer retrouver ses frères
Et ses sœurs de l’autre côté
Oui toujours retrouver
Ses frères et ses sœurs
De l’autre côté.