Les paroles de la chanson
« Voyage »
Isabelle Mayereau
Viens, je t’emporte dans mon nuage
Dans mes trente mètres carrés d’images
Dans mes murs de papier peint
De soie sauvage et de coton
Made in India, pour le folklore
Douceur des yeux et puis du corps
Pelures d’orange dans l’ cendrier
Doping nature, vitamine C
Viens, je t’emmène dans mon voyage
Vers l’an deux mille, si pas de barrage,
Si pas de bombes, si pas de maux
Dans nos chocolats pas bien chauds
Viens, je t’entraîne dans mon be-bop
Danser un coup, si tu dis stop
J’arrêterai la locomotive
En monocycle, je reprendrai mes billes
Viens, je t’emporte dans mon airplane
Paris-Kaboul chaque fin de semaine
Paris-Dakar, Paris-Bangkok
Pension compète, c’est pas du toc
Viens, je t’aimante dans mes délires
Fantasmes et autres, c’est là le pire
Grimpe dans mon side-car bidon
À cent-mille tours vers l’horizon
Viens, saute dans mon autobus
On se f’ra des montagnes et plus
On ira, ce n’ sera pas du luxe,
Ensemble jusqu’au terminus
Di pa di doum dé
Dans mes trente mètres carrés d’images
Dans mes murs de papier peint
De soie sauvage et de coton
Made in India, pour le folklore
Douceur des yeux et puis du corps
Pelures d’orange dans l’ cendrier
Doping nature, vitamine C
Viens, je t’emmène dans mon voyage
Vers l’an deux mille, si pas de barrage,
Si pas de bombes, si pas de maux
Dans nos chocolats pas bien chauds
Viens, je t’entraîne dans mon be-bop
Danser un coup, si tu dis stop
J’arrêterai la locomotive
En monocycle, je reprendrai mes billes
Viens, je t’emporte dans mon airplane
Paris-Kaboul chaque fin de semaine
Paris-Dakar, Paris-Bangkok
Pension compète, c’est pas du toc
Viens, je t’aimante dans mes délires
Fantasmes et autres, c’est là le pire
Grimpe dans mon side-car bidon
À cent-mille tours vers l’horizon
Viens, saute dans mon autobus
On se f’ra des montagnes et plus
On ira, ce n’ sera pas du luxe,
Ensemble jusqu’au terminus
Di pa di doum dé