Les paroles de la chanson
« Vous m'avez tant aimée »
Anne Sylvestre
Moi, j’arrivais sans crier gare
Aussi docile qu’un chardon
Et je tirais de ma guitare
D’assez agréables chansons
J’avais vingt ans, quelle richesse!
Mais je savais déjà fort bien
Que c’était pas en montrant mes fesses
Que je tracerais mon chemin
{Refrain:}
Vous m’avez tant aimée
Quand j’étais bergerette
Et vous voudriez retrouver
Toujours les mêmes chansonnettes
Et vos vingt ans qui y sont restés
Tout ce qu’on a vécu ensemble
Premiers amours, premiers chagrins
En des chansons qui nous ressemblent
J’en ai tricoté mes refrains
Mais les vingt ans deviennent trente
Et les suivants ne sont pas loin
Advient que les roses qu’on chante
Un jour, vous déchirent les mains
{au Refrain}
Mais à tant vivre, à tant se battre
À tant s’éloigner de sa fleur
À se couper le cœur en quatre
À coup d’espoir, à coup de peur
On prend de l’âme, on prend de l’âge
Et on se sent riche à foison
Ça serait sûrement dommage
De n’ pas en faire des chansons
{au Refrain}
Mais, pour vous aussi, le temps passe
Vous ne pouvez pas l’empêcher
Et que voulez-vous que j’y fasse
Si la magie vous a quittés?
Ce n’est pas en chantant lonlère
Que je vous rendrai vos vingt ans
Ne regardez pas en arrière
Car moi, je vous aime au présent
{au Refrain}
Aussi je vous demande, en grâce,
De ne pas bouder mes refrains
Même et surtout quand ils remplacent
Ceux que vous connaissiez si bien
Les chansons de notre jeunesse
Je m’y sens un peu à l’étroit
Si d’autres en veulent, je les laisse
Volontiers les chanter pour moi
Vous m’avez tant aimée
Quand j’étais bergerette
Et vous pouvez m’accompagner
Le long des autres chansonnettes
Et de nos nouvelles années
Aussi docile qu’un chardon
Et je tirais de ma guitare
D’assez agréables chansons
J’avais vingt ans, quelle richesse!
Mais je savais déjà fort bien
Que c’était pas en montrant mes fesses
Que je tracerais mon chemin
{Refrain:}
Vous m’avez tant aimée
Quand j’étais bergerette
Et vous voudriez retrouver
Toujours les mêmes chansonnettes
Et vos vingt ans qui y sont restés
Tout ce qu’on a vécu ensemble
Premiers amours, premiers chagrins
En des chansons qui nous ressemblent
J’en ai tricoté mes refrains
Mais les vingt ans deviennent trente
Et les suivants ne sont pas loin
Advient que les roses qu’on chante
Un jour, vous déchirent les mains
{au Refrain}
Mais à tant vivre, à tant se battre
À tant s’éloigner de sa fleur
À se couper le cœur en quatre
À coup d’espoir, à coup de peur
On prend de l’âme, on prend de l’âge
Et on se sent riche à foison
Ça serait sûrement dommage
De n’ pas en faire des chansons
{au Refrain}
Mais, pour vous aussi, le temps passe
Vous ne pouvez pas l’empêcher
Et que voulez-vous que j’y fasse
Si la magie vous a quittés?
Ce n’est pas en chantant lonlère
Que je vous rendrai vos vingt ans
Ne regardez pas en arrière
Car moi, je vous aime au présent
{au Refrain}
Aussi je vous demande, en grâce,
De ne pas bouder mes refrains
Même et surtout quand ils remplacent
Ceux que vous connaissiez si bien
Les chansons de notre jeunesse
Je m’y sens un peu à l’étroit
Si d’autres en veulent, je les laisse
Volontiers les chanter pour moi
Vous m’avez tant aimée
Quand j’étais bergerette
Et vous pouvez m’accompagner
Le long des autres chansonnettes
Et de nos nouvelles années