Les paroles de la chanson
« Voile de tanit »
Salammbô
Narr’Havas :
C’est son visage qui m’inspire
C’est son parfum
Qui danse quand je respire
Y a tant d’images de femmes
Dans son sourire
Qui m’appellent
Qui m’empêchent
De dormir
Au nom du ciel
Au nom du voile de Tanit
Ne se peut-il
Qu’elle se laisse conquérir
Faut-il des discours,
Des signes, des attitudes
De phrases de sages,
Des mots, des certitudes
On finit toujours par se ranger
Par calcul ou soumission
De toute manière
Soeur Salammbô
Il faudra que tu portes
Mon nom
Que dieu me pardonne
D’avoir de telles pensées
Le souffle court, insensé
Posséder ce corps de femme
Que le ciel m’ordonne
Par la force de t’accrocher
De par les lois, de par le voile
Toucher ton corps de femme
C’est ton voyage qui m’attire
C’est ton sang qui
Frappe dans ma poitrine
Y a pas d’escale sans femmes
Sans flammes, sans feu
Sans toi, sans coups de folies
De ses ailes, je me ferais
Un toit, un abri
Un coin pour deux, un repère
Une ligne de conduite
Faut-il d’avantages?
Des cages, des habitudes?
Le silence des mots
Pour sceller ta servitude
Je finirais par te ranger
Par calcul ou soumission
De toute manière
Soeur Salammbô
Il faudra que tu portes mon nom
C’est son visage qui m’inspire
C’est son parfum
Qui danse quand je respire
Y a tant d’images de femmes
Dans son sourire
Qui m’appellent
Qui m’empêchent
De dormir
Au nom du ciel
Au nom du voile de Tanit
Ne se peut-il
Qu’elle se laisse conquérir
Faut-il des discours,
Des signes, des attitudes
De phrases de sages,
Des mots, des certitudes
On finit toujours par se ranger
Par calcul ou soumission
De toute manière
Soeur Salammbô
Il faudra que tu portes
Mon nom
Que dieu me pardonne
D’avoir de telles pensées
Le souffle court, insensé
Posséder ce corps de femme
Que le ciel m’ordonne
Par la force de t’accrocher
De par les lois, de par le voile
Toucher ton corps de femme
C’est ton voyage qui m’attire
C’est ton sang qui
Frappe dans ma poitrine
Y a pas d’escale sans femmes
Sans flammes, sans feu
Sans toi, sans coups de folies
De ses ailes, je me ferais
Un toit, un abri
Un coin pour deux, un repère
Une ligne de conduite
Faut-il d’avantages?
Des cages, des habitudes?
Le silence des mots
Pour sceller ta servitude
Je finirais par te ranger
Par calcul ou soumission
De toute manière
Soeur Salammbô
Il faudra que tu portes mon nom