Les paroles de la chanson
« Voilà le soir qui tombe »
Les Misérables (1980)
{Éponine}
Voilà, le soir qui tombe
Hélas, trêve de rêve
Ils vont venir en nombre
L’attaque est pour cette nuit
C’est l’autre jour comme ça par hasard
Que j’ai retrouvé sa trace
En faisant le guet devant
Pour ce coquin de Montparnasse
Qu’avait repéré
C’te belle villa déserte, abandonnée
Et qui voulait que j’vérifie
Qu’on pouvait la vider en paix
L’endroit n’était pas vide
J’ai vu un vieux monsieur
Le père, le vieux mécène
Avec une jeune fille
J’ai su tout d’suite que c’est elle
J’ai dit : "Danger, c’est louche
À c’te villa, pas touche!"
J’ai voulu protéger l’amour
Sans rien trahir pourtant dans mon discours
Mais je sens qu’ils viendront quand même
Et mon père, s’il s’évade, de même
Courez vite auprès d’elle
Lui dire que vous l’aimez
Je reste en sentinelle
Chacun sa destinée
Voilà, le soir qui tombe
Hélas, trêve de rêve
Ils vont venir en nombre
L’attaque est pour cette nuit
C’est l’autre jour comme ça par hasard
Que j’ai retrouvé sa trace
En faisant le guet devant
Pour ce coquin de Montparnasse
Qu’avait repéré
C’te belle villa déserte, abandonnée
Et qui voulait que j’vérifie
Qu’on pouvait la vider en paix
L’endroit n’était pas vide
J’ai vu un vieux monsieur
Le père, le vieux mécène
Avec une jeune fille
J’ai su tout d’suite que c’est elle
J’ai dit : "Danger, c’est louche
À c’te villa, pas touche!"
J’ai voulu protéger l’amour
Sans rien trahir pourtant dans mon discours
Mais je sens qu’ils viendront quand même
Et mon père, s’il s’évade, de même
Courez vite auprès d’elle
Lui dire que vous l’aimez
Je reste en sentinelle
Chacun sa destinée