Les paroles de la chanson
« Vivre, vivre »
François Feldman
Les feuilles se désespèrent
Aux arbres de l’hiver
Et les oiseaux s’élancent,
Là-haut, dans le silence.
Tu vois : on tue le temps
Qui meurt à chaque instant,
Emporté par le vent, doucement.
Nos rêves s’évaporent
Au fond des corridors.
De la rouille et de l’eau
Aux grilles des châteaux.
Même les rochers sauvages
S’effritent sur les rivages.
On a moins de courage, on est sage.
Il faut vivre, vivre,
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces,
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre,
Se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre
Avant de perdre la vie.
Que l’amour se lève
Jusqu’au dernier rêve.
Mais chacun roule sa pierre,
Inlassable galère
Sur une terre aride,
Au pied des pyramides.
Regarde les couleurs :
Elles passent avec les heures.
Le feu perd ses ardeurs, ça fait peur
Et puis ça continue,
Le cœur à moitié nu.
On couvre de bijoux
Une femme à genoux,
Sans regarder ses yeux
Qui nous prennent pour un dieu.
Même si on était vieux, ce s’rait mieux.
Il faut vivre, vivre,
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces,
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre,
Se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre,
Avant de perdre la vie.
Que l’amour se lève
Jusqu’au dernier rêve.
Il faut vivre, vivre
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces.
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre.
Aux arbres de l’hiver
Et les oiseaux s’élancent,
Là-haut, dans le silence.
Tu vois : on tue le temps
Qui meurt à chaque instant,
Emporté par le vent, doucement.
Nos rêves s’évaporent
Au fond des corridors.
De la rouille et de l’eau
Aux grilles des châteaux.
Même les rochers sauvages
S’effritent sur les rivages.
On a moins de courage, on est sage.
Il faut vivre, vivre,
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces,
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre,
Se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre
Avant de perdre la vie.
Que l’amour se lève
Jusqu’au dernier rêve.
Mais chacun roule sa pierre,
Inlassable galère
Sur une terre aride,
Au pied des pyramides.
Regarde les couleurs :
Elles passent avec les heures.
Le feu perd ses ardeurs, ça fait peur
Et puis ça continue,
Le cœur à moitié nu.
On couvre de bijoux
Une femme à genoux,
Sans regarder ses yeux
Qui nous prennent pour un dieu.
Même si on était vieux, ce s’rait mieux.
Il faut vivre, vivre,
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces,
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre,
Se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre,
Avant de perdre la vie.
Que l’amour se lève
Jusqu’au dernier rêve.
Il faut vivre, vivre
Plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre,
Debout au milieu des glaces.
Ne plus s’endormir
Dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre.