Les paroles de la chanson
« Vingt-six ans à nous deux »
Pierre Perret
{Refrain:}
J’aime un garçon du Capricorne
Moi je suis Balance on est heureux
Sa bouche a le goût du pop-corn’
On a vingt-six ans à nous deux
On est fan’s des Stones et des Pink Floyd de Brel qui chante Mathilde
De Donna Summer Woody Allen et W.C.Fields
Mes parents vissés à leur télé font une sacré trompette
Du prix du chou-fleur des radicaux moi je m’en bats les couettes
{au Refrain}
A l’école j’ai un prof’ de français un p’tit pépère tranquille
Qui file des devoirs sur des sujets un tantinet débiles
Décrivez votre veillée de Noël je peux pas lui raconter
Que ce beau soir-là toute ma famille est complètement pétée
{au Refrain}
Apprendre le calcul c’est inutile les p’tites machines le font
La géo non plus ça sert à rien les pays changent de nom
On sait que les croisés ces phallocrates maniaient le passe-partout
Et que trois cents ans plus tard la môme Jeanne d’arc inventait le barbecue
{au Refrain}
Tous les mercredis on a l’angoisse pour se trouver un endroit
On se roule des gommes au Père-Lachaise ou y a jamais un rat
On va voir des films d’épouvante qui nous les filent à gla-gla
Et on sort de là plus délabrés qu’la brosse à dents de Dracula
{au Refrain}
On pique les bouquins de bandes dessinées de Gotlib et Reiser
On essaie de faire des éconocroques pour jouer la fille de l’air
A dix-huit balais on leur dit merde et on se tire en vitesse
Roméo Juliette connaissaient pas l’American Express
{au Refrain}
J’aime un garçon du Capricorne
Moi je suis Balance on est heureux
Sa bouche a le goût du pop-corn’
On a vingt-six ans à nous deux
On est fan’s des Stones et des Pink Floyd de Brel qui chante Mathilde
De Donna Summer Woody Allen et W.C.Fields
Mes parents vissés à leur télé font une sacré trompette
Du prix du chou-fleur des radicaux moi je m’en bats les couettes
{au Refrain}
A l’école j’ai un prof’ de français un p’tit pépère tranquille
Qui file des devoirs sur des sujets un tantinet débiles
Décrivez votre veillée de Noël je peux pas lui raconter
Que ce beau soir-là toute ma famille est complètement pétée
{au Refrain}
Apprendre le calcul c’est inutile les p’tites machines le font
La géo non plus ça sert à rien les pays changent de nom
On sait que les croisés ces phallocrates maniaient le passe-partout
Et que trois cents ans plus tard la môme Jeanne d’arc inventait le barbecue
{au Refrain}
Tous les mercredis on a l’angoisse pour se trouver un endroit
On se roule des gommes au Père-Lachaise ou y a jamais un rat
On va voir des films d’épouvante qui nous les filent à gla-gla
Et on sort de là plus délabrés qu’la brosse à dents de Dracula
{au Refrain}
On pique les bouquins de bandes dessinées de Gotlib et Reiser
On essaie de faire des éconocroques pour jouer la fille de l’air
A dix-huit balais on leur dit merde et on se tire en vitesse
Roméo Juliette connaissaient pas l’American Express
{au Refrain}