Les paroles de la chanson
« Vieux vienne »
Claude Nougaro
Toutes les musiques sont bénies
D’où qu’elles viennent, quels que soient leurs nids
Elles appartiennent à l’âme humaine
C’est un Viennois qui me l’a dit
Et ce soir, j’ai la veine autrichienne sur cette mélodie...
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Vienne une chose toute rose qui ose dire aérienne
Dans un frisson délicieux
Des mots d’amour à l’ancienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Un Pleyel plein de ciel trinquant, Tchin! à la tienne
Les trois temps d’un temps grisant qui nous maintienne
Noyés jusqu’au fond des yeux
Par une passion diluvienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Vienne comme dit Arthur un temps dont on s’éprenne
Vienne un grand bal bacchanale
Une ronde ravélienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Un bouchon d’champagne à faire péter les peines
Un grand vent d’violons violents qui désenchaîne
Un orage très précieux
Plein de foudre musicienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne
Noyés jusqu’au fond des yeux
Par une passion diluvienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne
D’où qu’elles viennent, quels que soient leurs nids
Elles appartiennent à l’âme humaine
C’est un Viennois qui me l’a dit
Et ce soir, j’ai la veine autrichienne sur cette mélodie...
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Vienne une chose toute rose qui ose dire aérienne
Dans un frisson délicieux
Des mots d’amour à l’ancienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Un Pleyel plein de ciel trinquant, Tchin! à la tienne
Les trois temps d’un temps grisant qui nous maintienne
Noyés jusqu’au fond des yeux
Par une passion diluvienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Vienne comme dit Arthur un temps dont on s’éprenne
Vienne un grand bal bacchanale
Une ronde ravélienne
Ah que vienne que vienne que vienne une valse de Vienne
Un bouchon d’champagne à faire péter les peines
Un grand vent d’violons violents qui désenchaîne
Un orage très précieux
Plein de foudre musicienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne
Noyés jusqu’au fond des yeux
Par une passion diluvienne
Ah que vienne que vienne une valse de Vienne