Les paroles de la chanson
« Viens que j'te borde »
Lynda Lemay
Tout est à sa place, je n’ai rien touché
L’abat-jour, la table basse, les bandes dessinées,
Tous tes soldats d’plomb sont bien alignés
J’ai même gardé ton ballon, on va le regonfler
Y a des draps d’coton qui ont séché dehors
Ce s’ra doux sur ton p’tit corps et ça va sentir bon
Tes jeux d’société dorment dans l’placard
Bien rangés, bien empilés comme tes livres d’histoire
{Refrain:}
Viens que j’te borde comme avant
Viens que j’te dorlote mon grand
Viens que j’te lise Le Petit Prince
Et que j’te dessine un mouton
Viens que j’te borde comme avant
Viens que j’te dorlote mon grand
Viens que j’te jure que sous ton lit
Y a pas de fantômes tapis
Viens contre moi mon petit prince
Viens que j’tembrasse sur le front
Avant d’pousser la porte qui grince
Ne t’inquiète pas, j’vais laisser un jour comme toujours
Y a la vieille guitare dont t’as tellement joué
Qui s’contente de pendouiller en face du miroir
Sur le mur couvert d’affiches jaunies
Dont j’ai r’collé encore hier des coins insoumis
Y a encore ton couvre-lit bleu avec les p’tits avions blancs
Tout est propre, tout est joli, bienvenue mon enfant
{au Refrain}
L’abat-jour, la table basse, les bandes dessinées,
Tous tes soldats d’plomb sont bien alignés
J’ai même gardé ton ballon, on va le regonfler
Y a des draps d’coton qui ont séché dehors
Ce s’ra doux sur ton p’tit corps et ça va sentir bon
Tes jeux d’société dorment dans l’placard
Bien rangés, bien empilés comme tes livres d’histoire
{Refrain:}
Viens que j’te borde comme avant
Viens que j’te dorlote mon grand
Viens que j’te lise Le Petit Prince
Et que j’te dessine un mouton
Viens que j’te borde comme avant
Viens que j’te dorlote mon grand
Viens que j’te jure que sous ton lit
Y a pas de fantômes tapis
Viens contre moi mon petit prince
Viens que j’tembrasse sur le front
Avant d’pousser la porte qui grince
Ne t’inquiète pas, j’vais laisser un jour comme toujours
Y a la vieille guitare dont t’as tellement joué
Qui s’contente de pendouiller en face du miroir
Sur le mur couvert d’affiches jaunies
Dont j’ai r’collé encore hier des coins insoumis
Y a encore ton couvre-lit bleu avec les p’tits avions blancs
Tout est propre, tout est joli, bienvenue mon enfant
{au Refrain}