Les paroles de la chanson
« Vent d'orient »
Florent Pagny
Tout faux, on a tout faux
On peut plus remettre les compteurs à zéro
On y va tout droit
On sait pas où ça va
C’est l’article vingt-deux
Chacun s’débrouille comme il peut
Est Ouest, uni oubli
On est pas arrivés, économie bloquée
L’écart s’est creusé, sans humanité
Y’en a un qui a trop, l’autre qui n’a pas assez
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Pouvoir Etat fébrile
D’un coté à l’autre, tu joues sur un fil
Tu sais plus comment
Remonter le temps
Ni comment effacer
Toutes les conneries du passé
Robinet, fermer, banquier
Le mot d’ordre est lancé
Tout est gelé
Mais qui va payer l’papier
Le petit porteur
Celui qu’on connait par cœur
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Terrien, terrien, t’es rien
Dans le mot tout est dit, et regarde-toi bien
Tu es né un jour
Tu mourras un jour
Et entre les deux tu dois trouver l’amour
Mais rine, non rien, vraiment rien
Dans cet engrenage entropophage
Rien ne laisse venir l’été
Tu pointes au chômage
Ou bien tu es raquetté
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
On peut plus remettre les compteurs à zéro
On y va tout droit
On sait pas où ça va
C’est l’article vingt-deux
Chacun s’débrouille comme il peut
Est Ouest, uni oubli
On est pas arrivés, économie bloquée
L’écart s’est creusé, sans humanité
Y’en a un qui a trop, l’autre qui n’a pas assez
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Pouvoir Etat fébrile
D’un coté à l’autre, tu joues sur un fil
Tu sais plus comment
Remonter le temps
Ni comment effacer
Toutes les conneries du passé
Robinet, fermer, banquier
Le mot d’ordre est lancé
Tout est gelé
Mais qui va payer l’papier
Le petit porteur
Celui qu’on connait par cœur
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Terrien, terrien, t’es rien
Dans le mot tout est dit, et regarde-toi bien
Tu es né un jour
Tu mourras un jour
Et entre les deux tu dois trouver l’amour
Mais rine, non rien, vraiment rien
Dans cet engrenage entropophage
Rien ne laisse venir l’été
Tu pointes au chômage
Ou bien tu es raquetté
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident
Mais le vent
Le vent vient d’Orient
Ce vent brûlant
Qui glace tout l’Occident