Les paroles de la chanson
« Vagabond »
Henri Salvador
Je suis né sous un ciel de traîne
Entre Hambourg et Cuba
Depuis je me promène
Sur mon nuage à moi
Là où le vent me mène
J’ai entendu tant de sirènes
Chanter ici et là
Que j’ai eu de la peine
A filer toujours droit
Que j’ai eu de la peine
Tous les vagabonds vagabondent
Et croisent un jour leur chance
La Terre n’est pas si ronde
Tous les vagabonds vagabondent
Abondent dans mon sens
Sur la même longueur d’ondes
Je me suis mis en quarantaine
Déjà au moins deux fois
Loin des soirées mondaines
Qui filent à la coda
Pour jouer les mêmes rengaines
Les chansons les plus bohémiennes
Obéissent à ma voix
Quand je caresse l’ébène
De mon vieux piano droit
Qui veut quitter la scène
Tous les vagabonds vagabondent
Et croisent un jour leur chance
La Terre n’est pas si ronde
Tous les vagabonds vagabondent
Abondent dans mon sens
Sur la même longueur d’ondes
Je suis né sous un ciel de traîne
Le jour pointait pour moi
Et l’été, quelle veine
M’a appris ce jour-là
A filer à l’indienne
Entre Hambourg et Cuba
Depuis je me promène
Sur mon nuage à moi
Là où le vent me mène
J’ai entendu tant de sirènes
Chanter ici et là
Que j’ai eu de la peine
A filer toujours droit
Que j’ai eu de la peine
Tous les vagabonds vagabondent
Et croisent un jour leur chance
La Terre n’est pas si ronde
Tous les vagabonds vagabondent
Abondent dans mon sens
Sur la même longueur d’ondes
Je me suis mis en quarantaine
Déjà au moins deux fois
Loin des soirées mondaines
Qui filent à la coda
Pour jouer les mêmes rengaines
Les chansons les plus bohémiennes
Obéissent à ma voix
Quand je caresse l’ébène
De mon vieux piano droit
Qui veut quitter la scène
Tous les vagabonds vagabondent
Et croisent un jour leur chance
La Terre n’est pas si ronde
Tous les vagabonds vagabondent
Abondent dans mon sens
Sur la même longueur d’ondes
Je suis né sous un ciel de traîne
Le jour pointait pour moi
Et l’été, quelle veine
M’a appris ce jour-là
A filer à l’indienne