Les paroles de la chanson
« Vagabond »
Brasco
Mon seul ami c’est la rue
Ma mère se tue a me dire "bosse, fais la thune"
avant que je deale que je fasse couler le sang comme ’nosferatu’
elle ose faire la dure, elle sait ou le bloc nous mène, on finit par être taulard sous terre ou comme une loque humaine
Venu en France pour les études, j’ai fais semblant
on me dit toujours que j’assure pas pour la descendance
j’ai atteris chez une tante qui me casse les couilles
à chercher une planque j’ai failli acheter une tente
C’était à base de "tu fous rien, trouve du travail
bouge ton cul" tous les matins, "mets une veste et une cravate et puis ton rap pète les oreilles, ici ya des lois,
tu traines ça fait des mois, non je veux plus de ça chez moi.
Squatter le hall, tu trouves ça attirant?
si t’aimes tant la rue, je met ton matelas devant le bâtiment"
c’était ses phrases préferées, je pensais que j’etais à l’armé,
je suis parti sans regret sans savoir où aller
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais
Je suis pas prët de me mettre a table,
j’ai toujours prouvé aux proches
que je suis un mec à part et pas un incapable
loin de gwada et de mes parent qui s’inquietaient
je les rassurais, en vrai j’étais dans un sale petrin.
C’es là que les galères ont commencés, je me suis accroché,
chaques soir je me demandais "où je vais pouvoir me coucher, où je vais pouvoir me doucher"
J’avais plus beaucoup d’amis c’etait chaud comme mes habits sentaient les égouts de Paris
Fatigué à force de faire le vas et viens chez les potes, dans les trains, mais le pire c’est quand t’as faim, trop de fierté pour fouiller les poubelles qui trainent, qu’est-ce que je ferais pour des frites et un Mac Chiken
Je cherchais une meuf qu’elle m’invite chez elle ou a l’hotel,
biensur si elle paye sinon c’est pa la peine
Je suis pas un top model mais je sais les charmer,
tout ça pour pas dormir dans des cages d’escaliers.
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais
J’ai cottoyais celui qui mendiait avec sa guitare,
celui qui faisait le pick-pocket sans se faire tricard
celui qui croyait que le RER etait son plumard
je le voyais parler tout seul avec sa bouteille de pinard
Les controleurs troublaient mon sommeil, me chauffer la tête
je prenais les pv pour me torcher avec, je connais le métro, ses coins sales, ses clodos, ses touristes qui te saoulent avec leurs appareils photos
En hiver j’étais obligé de squatter les stations
pour me tenir au chaud jusqu’à la prochaine saison
ma maison c’était mon sac à dos, je l’avais tout le temps
brosse à dents, gants de toilette, bref y’avais tout dedans
Je rêvais d’appartement avec veranda
pendant que ma situation m’attirait vers le bas
mais j’ai su me relever, éviter le fiasco
je ne suis plus ce vagabond, tu peux m’apeller Brasco
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais
Ma mère se tue a me dire "bosse, fais la thune"
avant que je deale que je fasse couler le sang comme ’nosferatu’
elle ose faire la dure, elle sait ou le bloc nous mène, on finit par être taulard sous terre ou comme une loque humaine
Venu en France pour les études, j’ai fais semblant
on me dit toujours que j’assure pas pour la descendance
j’ai atteris chez une tante qui me casse les couilles
à chercher une planque j’ai failli acheter une tente
C’était à base de "tu fous rien, trouve du travail
bouge ton cul" tous les matins, "mets une veste et une cravate et puis ton rap pète les oreilles, ici ya des lois,
tu traines ça fait des mois, non je veux plus de ça chez moi.
Squatter le hall, tu trouves ça attirant?
si t’aimes tant la rue, je met ton matelas devant le bâtiment"
c’était ses phrases préferées, je pensais que j’etais à l’armé,
je suis parti sans regret sans savoir où aller
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais
Je suis pas prët de me mettre a table,
j’ai toujours prouvé aux proches
que je suis un mec à part et pas un incapable
loin de gwada et de mes parent qui s’inquietaient
je les rassurais, en vrai j’étais dans un sale petrin.
C’es là que les galères ont commencés, je me suis accroché,
chaques soir je me demandais "où je vais pouvoir me coucher, où je vais pouvoir me doucher"
J’avais plus beaucoup d’amis c’etait chaud comme mes habits sentaient les égouts de Paris
Fatigué à force de faire le vas et viens chez les potes, dans les trains, mais le pire c’est quand t’as faim, trop de fierté pour fouiller les poubelles qui trainent, qu’est-ce que je ferais pour des frites et un Mac Chiken
Je cherchais une meuf qu’elle m’invite chez elle ou a l’hotel,
biensur si elle paye sinon c’est pa la peine
Je suis pas un top model mais je sais les charmer,
tout ça pour pas dormir dans des cages d’escaliers.
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais
J’ai cottoyais celui qui mendiait avec sa guitare,
celui qui faisait le pick-pocket sans se faire tricard
celui qui croyait que le RER etait son plumard
je le voyais parler tout seul avec sa bouteille de pinard
Les controleurs troublaient mon sommeil, me chauffer la tête
je prenais les pv pour me torcher avec, je connais le métro, ses coins sales, ses clodos, ses touristes qui te saoulent avec leurs appareils photos
En hiver j’étais obligé de squatter les stations
pour me tenir au chaud jusqu’à la prochaine saison
ma maison c’était mon sac à dos, je l’avais tout le temps
brosse à dents, gants de toilette, bref y’avais tout dedans
Je rêvais d’appartement avec veranda
pendant que ma situation m’attirait vers le bas
mais j’ai su me relever, éviter le fiasco
je ne suis plus ce vagabond, tu peux m’apeller Brasco
[refrain x2]
Malgrès mes douleurs et mes peines je suis attentif
et la rue je l’emmerde, je suis pas son fils adoptif
elle a fait de moi un vagabond qui peine et qui traine
je te jure si je pouvais je la quitterais