Les paroles de la chanson
« Une saison en enfer »
Olympe
Mes jours se suivent,
Mes nuits se sauvent,
Et moi je reste là.
Parfois j’dérive,
Je me retrouve,
Là où je n’devrais pas.
J’apprends à perdre,
Parce qu’il faut savoir perdre aussi.
Je me relève,
Mais je retomb’rais c’est ainsi.
Une saison en enfer
Une autre au paradis
Avant de trouver la lumière,
Il faut oublier tout c’qui brille.
Une saison à sourire,
Une autre à regretter,
C’est aussi la beauté d’la vie, tu sais.
Des amis vont,
Des amis viennent,
Et moi je reste ici.
Je touche le fond,
J’touche le sommet,
Entre arc-en-ciel et jours de pluie.
J’apprends à être,
un peu meilleur avec le temps.
Souvent je rêve,
Car demain se conjugue au présent.
Une saison en enfer
Une autre au paradis
Avant de trouver la lumière,
Il faut oublier tout c’qui brille.
Une saison à sourire,
Une autre à regretter,
C’est aussi la beauté d’la vie, tu sais.
J’ai vu l’hiver comme je te vois.
J’ai vu l’hiver et j’ai compris,
Que l’existence, n’aurait pas d’sens,
Si on payait jamais le prix.
J’ai vu le printemps revenir,
Comme l’amour qu’on attendait plus.
Je l’ai vu aussi repartir,
Mais rien n’est perdu.
Mes nuits se sauvent,
Et moi je reste là.
Parfois j’dérive,
Je me retrouve,
Là où je n’devrais pas.
J’apprends à perdre,
Parce qu’il faut savoir perdre aussi.
Je me relève,
Mais je retomb’rais c’est ainsi.
Une saison en enfer
Une autre au paradis
Avant de trouver la lumière,
Il faut oublier tout c’qui brille.
Une saison à sourire,
Une autre à regretter,
C’est aussi la beauté d’la vie, tu sais.
Des amis vont,
Des amis viennent,
Et moi je reste ici.
Je touche le fond,
J’touche le sommet,
Entre arc-en-ciel et jours de pluie.
J’apprends à être,
un peu meilleur avec le temps.
Souvent je rêve,
Car demain se conjugue au présent.
Une saison en enfer
Une autre au paradis
Avant de trouver la lumière,
Il faut oublier tout c’qui brille.
Une saison à sourire,
Une autre à regretter,
C’est aussi la beauté d’la vie, tu sais.
J’ai vu l’hiver comme je te vois.
J’ai vu l’hiver et j’ai compris,
Que l’existence, n’aurait pas d’sens,
Si on payait jamais le prix.
J’ai vu le printemps revenir,
Comme l’amour qu’on attendait plus.
Je l’ai vu aussi repartir,
Mais rien n’est perdu.