Les paroles de la chanson
« Une petite fille »
Claude Nougaro
Un’ petit’ fille en pleurs
Dans une ville en pluie
Et moi qui cours après
Et moi qui cours après au milieu de la nuit
Mais qu’est-c’que j’lui ai fait?
Une petite idiot’ qui me joue la grande scène
De la femm’ délaissée
Et qui veut me fair’ croir’ qu’elle va se noyer!
C’est d’quel côté la Seine?
Mais qu’est-c’que j’lui ai fait?
Mais qu’est-c’ qui lui a pris?
Mais qu’est-c’ qu’elle’ me reproche?
Lorsque je l’ai trompée, ell’ l’a jamais appris
C’est pas ell’ qui s’approche?
Tu m’aim’s vraiment dis-moi
Tu m’aim’s, tu m’aim’s, tu m’aim’s,
C’est tout ce qu’ell’ sait dire
En bouffant, en m’rasant,
Quand je voudrais dormir
Faut lui dir’ que je l’aime!
Un’ petit’ fille en pleurs dans une ville en pluie
Où est-ell’ Nom de Dieu!
Elle a dû remonter par la rue d’Rivoli
J’ai d’la flott’ plein les yeux
Parc’ qu’elle avait rêvé je ne sais quel amour
Absolu, éternel
Il faudrait ne penser, n’exister que pour elle
Chaque nuit, chaque jour
Voilà ce qu’elle voudrait. Seulement y a la vie
Seulement y a le temps
Et le moment fatal où le vilain mari
Tue le prince charmant
L’amour, son bel amour, il ne vaut pas bien cher
Contre un calendrier
Le batt’ment de son cœur, la douceur de sa chair...
Je les ai oubliés.
Où donc est-ell’ partie?
Voilà qu’il pleut des cordes
Mon Dieu regardez-moi
Me voilà comme un con, place de la Concorde!
Ça y est, je la vois
Attends-moi!
Attends-moi!
Je t’aime!
Je t’aime!
Je t’aime!
Dans une ville en pluie
Et moi qui cours après
Et moi qui cours après au milieu de la nuit
Mais qu’est-c’que j’lui ai fait?
Une petite idiot’ qui me joue la grande scène
De la femm’ délaissée
Et qui veut me fair’ croir’ qu’elle va se noyer!
C’est d’quel côté la Seine?
Mais qu’est-c’que j’lui ai fait?
Mais qu’est-c’ qui lui a pris?
Mais qu’est-c’ qu’elle’ me reproche?
Lorsque je l’ai trompée, ell’ l’a jamais appris
C’est pas ell’ qui s’approche?
Tu m’aim’s vraiment dis-moi
Tu m’aim’s, tu m’aim’s, tu m’aim’s,
C’est tout ce qu’ell’ sait dire
En bouffant, en m’rasant,
Quand je voudrais dormir
Faut lui dir’ que je l’aime!
Un’ petit’ fille en pleurs dans une ville en pluie
Où est-ell’ Nom de Dieu!
Elle a dû remonter par la rue d’Rivoli
J’ai d’la flott’ plein les yeux
Parc’ qu’elle avait rêvé je ne sais quel amour
Absolu, éternel
Il faudrait ne penser, n’exister que pour elle
Chaque nuit, chaque jour
Voilà ce qu’elle voudrait. Seulement y a la vie
Seulement y a le temps
Et le moment fatal où le vilain mari
Tue le prince charmant
L’amour, son bel amour, il ne vaut pas bien cher
Contre un calendrier
Le batt’ment de son cœur, la douceur de sa chair...
Je les ai oubliés.
Où donc est-ell’ partie?
Voilà qu’il pleut des cordes
Mon Dieu regardez-moi
Me voilà comme un con, place de la Concorde!
Ça y est, je la vois
Attends-moi!
Attends-moi!
Je t’aime!
Je t’aime!
Je t’aime!