Les paroles de la chanson
« Une île »
Serge Lama
Une île, entre le ciel et l’eau
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, une île, entre le ciel et l’eau
Ce serait là, face à la mer immense
Là, sans espoir d’espérance
Tout seul face à ma destinée
Plus seul qu’au cœur d’une forêt
Ce serait là, dans ma propre défaite
Tout seul sans espoir de conquête
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île, comme une cible d’or
Tranquille, comme un enfant qui dort
Fidèle, à en mourir pour elle
Cruelle, à force d’être belle
Une île, une île, comme un enfant qui dort
Ce serait là, face à la mer immense
Là, pour venger mes vengeances
Tout seul avec mes souvenirs
Plus seul qu’au moment de mourir
Ce serait là, au cœur de Sainte-Hélène
Sans joie, sans amour et sans haine
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île, entre le ciel et l’eau
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, cette île, mon île, c’est toi
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, une île, entre le ciel et l’eau
Ce serait là, face à la mer immense
Là, sans espoir d’espérance
Tout seul face à ma destinée
Plus seul qu’au cœur d’une forêt
Ce serait là, dans ma propre défaite
Tout seul sans espoir de conquête
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île, comme une cible d’or
Tranquille, comme un enfant qui dort
Fidèle, à en mourir pour elle
Cruelle, à force d’être belle
Une île, une île, comme un enfant qui dort
Ce serait là, face à la mer immense
Là, pour venger mes vengeances
Tout seul avec mes souvenirs
Plus seul qu’au moment de mourir
Ce serait là, au cœur de Sainte-Hélène
Sans joie, sans amour et sans haine
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île, entre le ciel et l’eau
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, cette île, mon île, c’est toi