Les paroles de la chanson
« Une heure, une nuit »
Ringo
Quand l’amour quitte nos gestes,
Nos paroles et nos pensées,
On découvre avec tristesse
Et avec hostilité
Qu’on n’a même plus de tendresse
On s’éloigne sans retour
Un peu plus chaque jour
Quand on oublie les étreintes
Pour lesquelles on serait mort
Et que la lumière éteinte
On se tourne et on s’endort
Il n’y a plus rien à faire
Que de renier sa fierté,
Sa pudeur pour crier
{Refrain:}
Reste encore une heure, une nuit près de moi
Reste encore une heure, une nuit contre moi
Reste encore une heure, une nuit, je t’en prie
Reste encore une heure, une nuit
Quand le téléphone sonne
Et qu’il ne sonne que pour toi
Que je sais bien qu’un autre homme,
Après moi, t’enlacera
Quand le dîner se termine
Sans qu’on ait, même par hasard,
Échangé un regard
Quand on déchire les lettres
Quand on vide les tiroirs
Quand on guette à la fenêtre
Il n’y a plus aucun espoir
Mais au moment de te perdre
Je ne peux pas accepter
De te voir me quitter
{au Refrain}
Quand on a fait tout un drame
Pour une absence d’un jour
Et que l’on prévoit sans larmes
De se quitter pour toujours
Quand, le matin, tu te coiffes
Et que je ne frémis plus
De te voir demi-nue
Quand on sent que quoi qu’on dise
On irrite et on déplaît
Autant faire sa valise
Et savoir se séparer
Je voudrais être impassible
Et ne pas me raccrocher
Mais je veux te garder
{au Refrain, x3}
Nos paroles et nos pensées,
On découvre avec tristesse
Et avec hostilité
Qu’on n’a même plus de tendresse
On s’éloigne sans retour
Un peu plus chaque jour
Quand on oublie les étreintes
Pour lesquelles on serait mort
Et que la lumière éteinte
On se tourne et on s’endort
Il n’y a plus rien à faire
Que de renier sa fierté,
Sa pudeur pour crier
{Refrain:}
Reste encore une heure, une nuit près de moi
Reste encore une heure, une nuit contre moi
Reste encore une heure, une nuit, je t’en prie
Reste encore une heure, une nuit
Quand le téléphone sonne
Et qu’il ne sonne que pour toi
Que je sais bien qu’un autre homme,
Après moi, t’enlacera
Quand le dîner se termine
Sans qu’on ait, même par hasard,
Échangé un regard
Quand on déchire les lettres
Quand on vide les tiroirs
Quand on guette à la fenêtre
Il n’y a plus aucun espoir
Mais au moment de te perdre
Je ne peux pas accepter
De te voir me quitter
{au Refrain}
Quand on a fait tout un drame
Pour une absence d’un jour
Et que l’on prévoit sans larmes
De se quitter pour toujours
Quand, le matin, tu te coiffes
Et que je ne frémis plus
De te voir demi-nue
Quand on sent que quoi qu’on dise
On irrite et on déplaît
Autant faire sa valise
Et savoir se séparer
Je voudrais être impassible
Et ne pas me raccrocher
Mais je veux te garder
{au Refrain, x3}