Les paroles de la chanson
« Une femme a bu dans mon verre »
Pascal Auriat
Une femme a bu dans mon verre
Une femme habillée de vert
Une femme qui joue et qui perd
Une femme qui aime l’enfer, qui aime l’enfer
Une femme aux yeux bleus d’azur
Une femme à la fière allure
Une femme d’un âge mur
Une femme qu’on voudrait pure, qu’on voudrait pure
J’aime bien son regard qui pèse
Elle a de si jolis yeux bleus
Des yeux comme des fleurs de feu
J’aime bien son regard qui pèse
Une femme a bu dans mon verre
Une femme, je l’ai laissé faire
Une femme m’a fait rougir
Une femme, et c’est si peu dire, c’est si peu dire
Une femme qui vit sa vie
Une femme qui vit la nuit
Une femme qui sent l’amour
Une femme qui meurt le jour, qui meurt le jour
Elle vient de rapprocher sa chaise
Son genou touche mon genou
Elle porte à ses doigts des bijoux
Elle vient de rapprocher sa chaise
Une femme a bu dans mon verre
Une femme de l’âge de ma mère
Une femme, elle m’a conduit
Une femme, et je l’ai suivie, oui je l’ai suivie
Une femme m’a pris la main
Une femme au creux de mes reins
Une femme que vient de tuer
L’aube qui vient de se lever
Une femme habillée de vert
Une femme qui joue et qui perd
Une femme qui aime l’enfer, qui aime l’enfer
Une femme aux yeux bleus d’azur
Une femme à la fière allure
Une femme d’un âge mur
Une femme qu’on voudrait pure, qu’on voudrait pure
J’aime bien son regard qui pèse
Elle a de si jolis yeux bleus
Des yeux comme des fleurs de feu
J’aime bien son regard qui pèse
Une femme a bu dans mon verre
Une femme, je l’ai laissé faire
Une femme m’a fait rougir
Une femme, et c’est si peu dire, c’est si peu dire
Une femme qui vit sa vie
Une femme qui vit la nuit
Une femme qui sent l’amour
Une femme qui meurt le jour, qui meurt le jour
Elle vient de rapprocher sa chaise
Son genou touche mon genou
Elle porte à ses doigts des bijoux
Elle vient de rapprocher sa chaise
Une femme a bu dans mon verre
Une femme de l’âge de ma mère
Une femme, elle m’a conduit
Une femme, et je l’ai suivie, oui je l’ai suivie
Une femme m’a pris la main
Une femme au creux de mes reins
Une femme que vient de tuer
L’aube qui vient de se lever