Les paroles de la chanson
« Une éclaircie en picardie »
Jean-François Battez
Le vent a chassé les nuages une éclaircie en Picardie
Ici la pluie laisse en sillage des chants d’oiseaux à l’infini
Mais qu’a-t-il donc ce paysage pour que j’en sois tant ébloui
Ulysse au retour de voyage en oublierait qu’il a vieilli
Par le sang de nos racines le cœur est en vie
Le vent caresse mon visage plein des parfums de mon pays
Odeur de chaume et de rivage terre et mer dans le même lit
Odeur des champs de l’eau des plages du haut des dunes îles endormies
Où l’herbe fine en fille sage courbe ses longs cheveux fleuris
Par le sang de nos racines le cœur se nourrit
Retour à pied vers le village qu’un doux soleil change d’habit
J’aime à y lire à chaque page au grand livre des gens d’ici
Chez nous ni cris ni bavardages juste un geste on se sourit
On laisse aux guerres et à l’orage les foudres la folie et le bruit
Par le sang de nos racines cœur sans soucis
Vois-tu ce banc sous le feuillage mon père souvent s’y est assis
A l’estacade au bastingage là où son père avait grandi
Loin du tapage et des mirages où l’on croit tromper son ennui
Ici j’ai posé mes bagages peut-être feras-tu ainsi
Par le sang de nos racines cœur épanoui
Ici la pluie laisse en sillage des chants d’oiseaux à l’infini
Mais qu’a-t-il donc ce paysage pour que j’en sois tant ébloui
Ulysse au retour de voyage en oublierait qu’il a vieilli
Par le sang de nos racines le cœur est en vie
Le vent caresse mon visage plein des parfums de mon pays
Odeur de chaume et de rivage terre et mer dans le même lit
Odeur des champs de l’eau des plages du haut des dunes îles endormies
Où l’herbe fine en fille sage courbe ses longs cheveux fleuris
Par le sang de nos racines le cœur se nourrit
Retour à pied vers le village qu’un doux soleil change d’habit
J’aime à y lire à chaque page au grand livre des gens d’ici
Chez nous ni cris ni bavardages juste un geste on se sourit
On laisse aux guerres et à l’orage les foudres la folie et le bruit
Par le sang de nos racines cœur sans soucis
Vois-tu ce banc sous le feuillage mon père souvent s’y est assis
A l’estacade au bastingage là où son père avait grandi
Loin du tapage et des mirages où l’on croit tromper son ennui
Ici j’ai posé mes bagages peut-être feras-tu ainsi
Par le sang de nos racines cœur épanoui