Les paroles de la chanson
« Une bonne carcasse »
Miossec
C’est possible enfin de s’agrandir
Quand il n’y a plus personne en face,
Enfin, on se touche, on respire,
On occupe toute la place,
La seule qu’on n’ait jamais su tenir,
Celle de sa gueule devant la glace,
On sait enfin à quoi s’en tenir,
Quand tout seul on se fracasse la gueule
Contre ses meilleurs souvenirs,
Mon dieux, comme le temps passe,
Tout seul aussi on peut maudire
Sa toute petite carcasse.
Même sur tes lettres de repentir,
J’ai enfin tiré la chasse,
Car j’aurais dû tout raccourcir,
Car désormais tout me dépasse,
Comme j’ai été con d’en finir,
Mais que veux-tu que j’y fasse,
Si des meilleurs souvenirs
Ne reste plus que la carcasse.
Et aujourd’hui c’est dire,
Je suis l’homme devant sa glace,
L’homme qui voudrait se sourire
Mais qui ne fait que des grimaces.
Et aujourd’hui c’est dire,
Je me retrouve chez une sombre connasse,
Toi au moins tu me faisais rire,
C’est ça qui me tracasse,
Savoir que l’on peut laisser mourir
Le plus grand amour su une paillasse,
Sans même oser lui dire,
Sans même lui dire en face,
Qu’on aurait dû tout raccourcir,
Car désormais tout me dépasse,
Qu’on aurait dû tout raccourcir,
C’est ça qui me tracasse.
Et l’on nage et l’one nage,
Et l’on hèle des navires
Et l’on rage, et l’on rage,
Et on en pousse des soupirs
Quand il n’y a plus personne en face,
Enfin, on se touche, on respire,
On occupe toute la place,
La seule qu’on n’ait jamais su tenir,
Celle de sa gueule devant la glace,
On sait enfin à quoi s’en tenir,
Quand tout seul on se fracasse la gueule
Contre ses meilleurs souvenirs,
Mon dieux, comme le temps passe,
Tout seul aussi on peut maudire
Sa toute petite carcasse.
Même sur tes lettres de repentir,
J’ai enfin tiré la chasse,
Car j’aurais dû tout raccourcir,
Car désormais tout me dépasse,
Comme j’ai été con d’en finir,
Mais que veux-tu que j’y fasse,
Si des meilleurs souvenirs
Ne reste plus que la carcasse.
Et aujourd’hui c’est dire,
Je suis l’homme devant sa glace,
L’homme qui voudrait se sourire
Mais qui ne fait que des grimaces.
Et aujourd’hui c’est dire,
Je me retrouve chez une sombre connasse,
Toi au moins tu me faisais rire,
C’est ça qui me tracasse,
Savoir que l’on peut laisser mourir
Le plus grand amour su une paillasse,
Sans même oser lui dire,
Sans même lui dire en face,
Qu’on aurait dû tout raccourcir,
Car désormais tout me dépasse,
Qu’on aurait dû tout raccourcir,
C’est ça qui me tracasse.
Et l’on nage et l’one nage,
Et l’on hèle des navires
Et l’on rage, et l’on rage,
Et on en pousse des soupirs