Les paroles de la chanson
« Un soir à la havane (le p'tit négro) »
Jean Sorbier
{Refrain:}
Un soir à la Havane
Un tout petit négro
Jouait dans sa cabane
Du banjo
Au son de la musique
Il fredonnait sans bruit
Un air mélancolique
Du pays
Chanson d’amour
Dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Un soir à la Havane
Un tout petit négro
Jouait dans sa cabane
Du banjo
Or, pour Paris, pour la France
Un jour le négro partit
Il eut très vite une gloire immense
Comme chanteur dans les boîtes de nuit
Mais ni l’argent ni la gloire
Rien ne pouvait effacer
De ses rêves et de sa mémoire
La douce image du passé
{au Refrain}
Des parisiennes très belles
Furent à lui par plaisir
Mais un jour hélas! l’une d’entre elles
Se divertit à le faire souffrir
Cette cruelle maîtresse
L’ayant quitté, torturé,
Il ne songeat plus dans sa détresse
Qu’à fuir au loin, désespéré!
{dernier Refrain:}
Un soir à la Havane
Le tout petit négro
Revint dans sa cabane
Le cœur gros
Mais chagrins et tristesse
Se sont vite envolés
Il s’est, près d’une négresse,
Consolé!
Duo d’amour, dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Ah!
Un soir à la Havane
Un ménage de négros
Jouait dans sa cabane
Du banjo!
[Variante du dernier refrain:]
Un soir, à la Havane
Le tout petit négro
Revint dans sa cabane
Le cœur gros
Il prit - chanson dernière -
Son banjo tristement
Puis s’étendit par terre
En pleurant!
Sanglot d’amour, dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Ah!
Car c’est dans sa cabane
Qu’il voulait revenir
Un soir, à la Havane,
Pour mourir!
Un soir à la Havane
Un tout petit négro
Jouait dans sa cabane
Du banjo
Au son de la musique
Il fredonnait sans bruit
Un air mélancolique
Du pays
Chanson d’amour
Dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Un soir à la Havane
Un tout petit négro
Jouait dans sa cabane
Du banjo
Or, pour Paris, pour la France
Un jour le négro partit
Il eut très vite une gloire immense
Comme chanteur dans les boîtes de nuit
Mais ni l’argent ni la gloire
Rien ne pouvait effacer
De ses rêves et de sa mémoire
La douce image du passé
{au Refrain}
Des parisiennes très belles
Furent à lui par plaisir
Mais un jour hélas! l’une d’entre elles
Se divertit à le faire souffrir
Cette cruelle maîtresse
L’ayant quitté, torturé,
Il ne songeat plus dans sa détresse
Qu’à fuir au loin, désespéré!
{dernier Refrain:}
Un soir à la Havane
Le tout petit négro
Revint dans sa cabane
Le cœur gros
Mais chagrins et tristesse
Se sont vite envolés
Il s’est, près d’une négresse,
Consolé!
Duo d’amour, dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Ah!
Un soir à la Havane
Un ménage de négros
Jouait dans sa cabane
Du banjo!
[Variante du dernier refrain:]
Un soir, à la Havane
Le tout petit négro
Revint dans sa cabane
Le cœur gros
Il prit - chanson dernière -
Son banjo tristement
Puis s’étendit par terre
En pleurant!
Sanglot d’amour, dont l’écho là-bas
Montait vers les grands mimosas
Ah!
Car c’est dans sa cabane
Qu’il voulait revenir
Un soir, à la Havane,
Pour mourir!