Les paroles de la chanson
« Un poète »
Alain Barrière
Un poète ne vit pas très longtemps
Il se croque la vie à pleines dents
Brûle toutes cartouches en même temps
Se moquant des faux-culs des faux-semblants
Un poète ne vit pas très longtemps
Un poète ne vit pas très longtemps
Si vous l’avez cru voir vieillissant
Son fantôme son spectre assurément
Ou sa dernière blague d’étudiant
Un poète ne vit pas très longtemps
ah ah ah ah ah...
Un poète se meurt de temps en temps
Ce n’est pas la cohue à l’enterrement
Juste quelques amis quelques parents
On n’a pas alerté les présidents
Un poète se meurt de temps en temps
Un poète se meurt de temps en temps
On ne retrouve pas de testament
Encore moins d’héritiers de prétendants
Seule est là la compagne des jours sans
Un poète se meurt de temps en temps
ah ah ah ah ah...
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Et ça n’est jamais très très bien pensant
A la moindre injustice ça va gueulant
Contre les cons le vice et les puissants
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Ça ne craint ni l’exil ni les tourments
Ça écrit que des grandes dénouements
Avec la dernière goutte de son sang
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
ah ah ah ah ah...
Un poète ça vit très très longtemps
Si j’ai dit le contraire apparemment
C’est que les mots les mots c’est bien changeant
S’ils sont dits au passé ou au présent
Un poète ça vit très très longtemps
Un poète ça vit très très longtemps
Qu’on ne compte le nombre de ses enfants
Il en naît chaque hiver chaque printemps
A qui la gloire du prophète vont chantant
Un poète ça vit très très longtemps
Il se croque la vie à pleines dents
Brûle toutes cartouches en même temps
Se moquant des faux-culs des faux-semblants
Un poète ne vit pas très longtemps
Un poète ne vit pas très longtemps
Si vous l’avez cru voir vieillissant
Son fantôme son spectre assurément
Ou sa dernière blague d’étudiant
Un poète ne vit pas très longtemps
ah ah ah ah ah...
Un poète se meurt de temps en temps
Ce n’est pas la cohue à l’enterrement
Juste quelques amis quelques parents
On n’a pas alerté les présidents
Un poète se meurt de temps en temps
Un poète se meurt de temps en temps
On ne retrouve pas de testament
Encore moins d’héritiers de prétendants
Seule est là la compagne des jours sans
Un poète se meurt de temps en temps
ah ah ah ah ah...
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Et ça n’est jamais très très bien pensant
A la moindre injustice ça va gueulant
Contre les cons le vice et les puissants
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
Ça ne craint ni l’exil ni les tourments
Ça écrit que des grandes dénouements
Avec la dernière goutte de son sang
Un poète c’est sûr c’est emmerdant
ah ah ah ah ah...
Un poète ça vit très très longtemps
Si j’ai dit le contraire apparemment
C’est que les mots les mots c’est bien changeant
S’ils sont dits au passé ou au présent
Un poète ça vit très très longtemps
Un poète ça vit très très longtemps
Qu’on ne compte le nombre de ses enfants
Il en naît chaque hiver chaque printemps
A qui la gloire du prophète vont chantant
Un poète ça vit très très longtemps