Les paroles de la chanson
« Un piano pleure à varsovie »
Alain Morisod & Sweet People
Un piano pleure à Varsovie
On veut l’empêcher de chanter
On étouffe ses mélodies
L’amour n’a plus droit de cité
La neige et les matins sont gris
Le froid pénètre jusqu’au cœur
La liberté n’est plus qu’un leure
Et Frédéric pleure
Les enfants qui s’aiment
Où iront-ils danser
La ville a figure de carême
On y marche au pas cadanser
La campagne noire et frileuse
Semble d’elle même porter le deuil
Les oiseaux tristes se recueuillent
Le ciel est bas, maisons vides
Un piano pleure à Varsovie
On veut l’empêcher de chanter
Son âme n’est pas assouvie
Son cœur croit à la liberté
Il attend dans les matins gris
Que reviennent les jours meilleurs
Mais il ne peut chanter pour l’heure
Et Frédéric pleure
On veut l’empêcher de chanter
On étouffe ses mélodies
L’amour n’a plus droit de cité
La neige et les matins sont gris
Le froid pénètre jusqu’au cœur
La liberté n’est plus qu’un leure
Et Frédéric pleure
Les enfants qui s’aiment
Où iront-ils danser
La ville a figure de carême
On y marche au pas cadanser
La campagne noire et frileuse
Semble d’elle même porter le deuil
Les oiseaux tristes se recueuillent
Le ciel est bas, maisons vides
Un piano pleure à Varsovie
On veut l’empêcher de chanter
Son âme n’est pas assouvie
Son cœur croit à la liberté
Il attend dans les matins gris
Que reviennent les jours meilleurs
Mais il ne peut chanter pour l’heure
Et Frédéric pleure