Les paroles de la chanson
« Un mouchoir au vent »
Tereza Kesovija
UN MOUCHOIR AU VENT
Interprète TEREZA /Paroles René Rouzaud/Musique Emile Stern 1965
Je connais un ciel d’un bleu merveilleux
D’un ciel où jadis vivaient tous les dieux
Ou j’ai vécu mes jours les plus heureux
C’était au bord d’une plage oubliée
Entre trois rochers et deux oliviers
D’où l’on voyait dans le soleil briller
Un petit mouchoir au vent qui flottait
Au bord d’un bateau tout blanc qui tanguait
Avec des enfants dedans qui riaient
Et qui s’embrassaient
Et la fille et un garçon se juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient
Laisseront couler des pluies ce jour là
Où ces deux enfants roulés dans le bain
Tenir le monde et le temps qui s’en va
Mais tous ceux qui par hasard cet été
Se sont arrêtés aux deux oliviers
Ont vu là bas dans le soleil briller
Un petit mouchoir au vent qui flottait
Au bord d’un bateau tout blanc qui tanguait
Et deux amoureux dedans qui riaient
Et qui s’embrassaient
C’était les mêmes enfants qui juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient
Lala lala lala...
C’était les mêmes enfants qui juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient
Interprète TEREZA /Paroles René Rouzaud/Musique Emile Stern 1965
Je connais un ciel d’un bleu merveilleux
D’un ciel où jadis vivaient tous les dieux
Ou j’ai vécu mes jours les plus heureux
C’était au bord d’une plage oubliée
Entre trois rochers et deux oliviers
D’où l’on voyait dans le soleil briller
Un petit mouchoir au vent qui flottait
Au bord d’un bateau tout blanc qui tanguait
Avec des enfants dedans qui riaient
Et qui s’embrassaient
Et la fille et un garçon se juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient
Laisseront couler des pluies ce jour là
Où ces deux enfants roulés dans le bain
Tenir le monde et le temps qui s’en va
Mais tous ceux qui par hasard cet été
Se sont arrêtés aux deux oliviers
Ont vu là bas dans le soleil briller
Un petit mouchoir au vent qui flottait
Au bord d’un bateau tout blanc qui tanguait
Et deux amoureux dedans qui riaient
Et qui s’embrassaient
C’était les mêmes enfants qui juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient
Lala lala lala...
C’était les mêmes enfants qui juraient
Que jamais tous deux ne se quitteraient
Et qu’aussi longtemps qu’la mer roulerait
Ils se garderaient