Les paroles de la chanson
« Un jour ou l'autre »
Charles Aznavour
Un jour ou l’autre après bien des années
On revient sur ses traces
Rechercher un passé qui s’efface.
Un jour ou l’autre on marche sur les lieux
Qui nous on connus gosses
Avant d’aller rouler sa bosse.
Une maison, un square, un coin de rue
Un marchand de bonbons
Nous laissent tous émus,
Nous bouleversent.
Un souvenir que l’on croyait perdu
Fait jaillir un sourire,
Une joie inconnue
Qui transperce.
Un jour ou l’autre on constate surpris
Que tout est illusoire
Et qu’ainsi ce n’est qu’en la mémoire
Que tout meurt ou tout vit.
Un jour ou l’autre on veut faire à l’envers
Ce qui fut notre course,
Mais on perd à remonter aux sources.
Un jour ou l’autre, plus à tort qu’à raison,
On cherche des images,
L’émotion vous gâche le voyage.
Des commerces, un marché en plein air,
Et du linge claquant
Comme voiles en mer
Aux fenêtres.
Des cris d’enfants, une école primaire
Et les yeux de maman
Qui se plantent en ma chair
Et mon être.
Un jour ou l’autre on sent qu’à tout jamais,
Il vaut mieux que l’on renonce
Aux bleuets qui sont parmi les ronces
Au jardin des regrets.
On revient sur ses traces
Rechercher un passé qui s’efface.
Un jour ou l’autre on marche sur les lieux
Qui nous on connus gosses
Avant d’aller rouler sa bosse.
Une maison, un square, un coin de rue
Un marchand de bonbons
Nous laissent tous émus,
Nous bouleversent.
Un souvenir que l’on croyait perdu
Fait jaillir un sourire,
Une joie inconnue
Qui transperce.
Un jour ou l’autre on constate surpris
Que tout est illusoire
Et qu’ainsi ce n’est qu’en la mémoire
Que tout meurt ou tout vit.
Un jour ou l’autre on veut faire à l’envers
Ce qui fut notre course,
Mais on perd à remonter aux sources.
Un jour ou l’autre, plus à tort qu’à raison,
On cherche des images,
L’émotion vous gâche le voyage.
Des commerces, un marché en plein air,
Et du linge claquant
Comme voiles en mer
Aux fenêtres.
Des cris d’enfants, une école primaire
Et les yeux de maman
Qui se plantent en ma chair
Et mon être.
Un jour ou l’autre on sent qu’à tout jamais,
Il vaut mieux que l’on renonce
Aux bleuets qui sont parmi les ronces
Au jardin des regrets.