Les paroles de la chanson
« Un jour ou l'autre »
Debout Sur Le Zinc
Un jour ou l’autre ne plus repousser
Cesser de tourner sa langue avant de parler
Renoncer à cet orgueil
Qui vous cloue le bec et vous laisse si souvent seul
Passer de l’ombre à l’autre sous le soleil
Laisser tomber la foudre sur les oreilles
De ceux qui aimeraient bien mais n’osent pas
N’osent jamais dire haut ce qu’ils pensent tout bas
[Refrain]
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami
À vous je le dis, j’espérais ce peu :
Au jeu de la vie, gagner un peu mieux
Qu’une pomme empoisonnée en robe de printemps
Dans laquelle le coeur affamé
Croque à pleines dents
Et là c’est la vie qui s’en va sans prévenir
Et toi qui ouvre les bras pour la retenir
Le temps d’une averse une seule fois versée
Le temps de mourir renaître et s’envoler
[Refrain]
À l’heure où la route au milieu du désert
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre
À l’heure où la tête sortie du brouillard
Se demande encore quel était ce rêve bizarre
À l’heure où la nuit décline et le jour
Emmène au loin les chagrins d’amour
À ton oreille et au monde entier
Je ne le redirai jamais assez
[Refrain]
Cesser de tourner sa langue avant de parler
Renoncer à cet orgueil
Qui vous cloue le bec et vous laisse si souvent seul
Passer de l’ombre à l’autre sous le soleil
Laisser tomber la foudre sur les oreilles
De ceux qui aimeraient bien mais n’osent pas
N’osent jamais dire haut ce qu’ils pensent tout bas
[Refrain]
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami
À vous je le dis, j’espérais ce peu :
Au jeu de la vie, gagner un peu mieux
Qu’une pomme empoisonnée en robe de printemps
Dans laquelle le coeur affamé
Croque à pleines dents
Et là c’est la vie qui s’en va sans prévenir
Et toi qui ouvre les bras pour la retenir
Le temps d’une averse une seule fois versée
Le temps de mourir renaître et s’envoler
[Refrain]
À l’heure où la route au milieu du désert
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre
À l’heure où la tête sortie du brouillard
Se demande encore quel était ce rêve bizarre
À l’heure où la nuit décline et le jour
Emmène au loin les chagrins d’amour
À ton oreille et au monde entier
Je ne le redirai jamais assez
[Refrain]