Les paroles de la chanson
« Un fois de trop »
Tagada Jones
Tu marches droit devant, toujours fièrement;
Les mains dans les poches et les cheveux dans le vent.
Tu es l’exemple vivant, un vrai monument;
Une réussite sociale, un homme impitoyable.
Tout le monde te regarde dans la rue
Et te salue.
Toutes les jeunes filles se voient déjà nues,
Se glisser dans tes bras, pour abuser du roi,
Même ton ombre ne sait pas où se mettre derrière toi.
Il faut croire que pour monsieur tout va!
Oui mais seulement voilà,
Jamais très loin de là
Une femme dans tes draps.
Elle n’attend plus que toi
Et depuis des années, tu rentres soulagé
Pour te faire pardonner, tu lui colles une bonne raclée!
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Cogner, cogner comme un costeau;
Tu es le plus fort et vraiment le plus beau
Une fois de plus elle a dit le mot de trop,
Une fois de plus, tu t’es fais son bourreau...
Une fois de plus, ou une fois de trop.
Ou une fois de trop...
Une fois de trop!
Il arrive parfois
Qu’on cogne plus fort qu’on ne le croit,
Plus fort qu’on ne le croit.
Une fois de trop...
Hier soir t’es rentré un peu amoché
Y’a pas à dire, t’étais lessivé
A grands coups de poing, tu t’es acharné
Et elle ne bougera plus jamais...
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Cogner, cogner comme un costeau;
Tu es le plus fort et vraiment le plus beau
Une fois de plus elle a dit le mot de trop,
Une fois de plus, tu t’es fais son bourreau...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Les mains dans les poches et les cheveux dans le vent.
Tu es l’exemple vivant, un vrai monument;
Une réussite sociale, un homme impitoyable.
Tout le monde te regarde dans la rue
Et te salue.
Toutes les jeunes filles se voient déjà nues,
Se glisser dans tes bras, pour abuser du roi,
Même ton ombre ne sait pas où se mettre derrière toi.
Il faut croire que pour monsieur tout va!
Oui mais seulement voilà,
Jamais très loin de là
Une femme dans tes draps.
Elle n’attend plus que toi
Et depuis des années, tu rentres soulagé
Pour te faire pardonner, tu lui colles une bonne raclée!
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Cogner, cogner comme un costeau;
Tu es le plus fort et vraiment le plus beau
Une fois de plus elle a dit le mot de trop,
Une fois de plus, tu t’es fais son bourreau...
Une fois de plus, ou une fois de trop.
Ou une fois de trop...
Une fois de trop!
Il arrive parfois
Qu’on cogne plus fort qu’on ne le croit,
Plus fort qu’on ne le croit.
Une fois de trop...
Hier soir t’es rentré un peu amoché
Y’a pas à dire, t’étais lessivé
A grands coups de poing, tu t’es acharné
Et elle ne bougera plus jamais...
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Cogner, cogner comme un costeau;
Tu es le plus fort et vraiment le plus beau
Une fois de plus elle a dit le mot de trop,
Une fois de plus, tu t’es fais son bourreau...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
C’est facile de jouer les durs après le bistrot
Et de cogner ta femme comme un salaud!
De la laisser seule sur le carreau
D’y retrourner même s’il le faut...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...
Une fois de trop...