Les paroles de la chanson
« Un éternel hiver »
Lynda Lemay
Il y a Daniel,
Daniel Messiers, l’agent d’ police
Qui a quarante ans et toutes ses dents contre mon fils
Il y a Micheline,
Celle qui travaille au restaurant de grâce cuisine
Et qui aime bien Monsieur l’agent
Il y a Manon,
Qui est amoureuse de mon garçon
Depuis deux ans
Et qui lui fabrique un enfant
Il y a mon Jeff,
Le futur papa en question
Trop jeune mais bref
Il prend ses propres décisions
Monsieur l’agent,
Y dit qu’ mon fils est un voyou
Mais c’est évident que Monsieur l’agent il est jaloux
Puisque Manon,
Manon qui est la fille de Micheline
La belle Manon, elle n’est jamais que sa bonne copine
Il y a Micheline
Qui r’garde tout le temps mon fils de haut
Et qui s’indigne parce qu’elle trouve qu’il boit trop
Mais mon garçon,
Sa belle Manon, il l’aime vraiment
Il y a de la passion entre ces deux furieux amants
Et il y a moi,
Héritière sans profession
Jeff, c’est mon gars
Et Nathalie, c’est mon prénom
Il y avait Jacques,
Mon cher mari qui s’est pas r’mis d’une crise cardiaque
Et qui a déserté la vie
Il y a longtemps
Lorsque mon pauvre Jean-François n’avait que dix ans
Et comme parent plus que moi
Voilà mon clan
Nous sommes de drôles d’oiseaux
Voilà comment on peut souvent tomber de haut
Daniel Messiers, l’agent d’ police
Qui a quarante ans et toutes ses dents contre mon fils
Il y a Micheline,
Celle qui travaille au restaurant de grâce cuisine
Et qui aime bien Monsieur l’agent
Il y a Manon,
Qui est amoureuse de mon garçon
Depuis deux ans
Et qui lui fabrique un enfant
Il y a mon Jeff,
Le futur papa en question
Trop jeune mais bref
Il prend ses propres décisions
Monsieur l’agent,
Y dit qu’ mon fils est un voyou
Mais c’est évident que Monsieur l’agent il est jaloux
Puisque Manon,
Manon qui est la fille de Micheline
La belle Manon, elle n’est jamais que sa bonne copine
Il y a Micheline
Qui r’garde tout le temps mon fils de haut
Et qui s’indigne parce qu’elle trouve qu’il boit trop
Mais mon garçon,
Sa belle Manon, il l’aime vraiment
Il y a de la passion entre ces deux furieux amants
Et il y a moi,
Héritière sans profession
Jeff, c’est mon gars
Et Nathalie, c’est mon prénom
Il y avait Jacques,
Mon cher mari qui s’est pas r’mis d’une crise cardiaque
Et qui a déserté la vie
Il y a longtemps
Lorsque mon pauvre Jean-François n’avait que dix ans
Et comme parent plus que moi
Voilà mon clan
Nous sommes de drôles d’oiseaux
Voilà comment on peut souvent tomber de haut