Les paroles de la chanson
« Un enfant nous est né »
Céline Hontaas
Un enfant nous est né, on dit qu’il ne faut pas en parler
Que la mère, une enfant d’à peine quinze ans
A eu un enfant, et ne l’a pas demandé
Elle rêvait d’un voyage, tout au bout de l’amour
Mais son beau capitaine, un marin d’eau douce
A fait de son rêve un aller sans retour
Qui est l’enfant, qui est la mère? Je crois qu’on ne peut pas le dire
Lequel des deux, dans la tempête, va devoir mener le navire?
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour une petite mère
De la tendresse pour deux
Un enfant nous est né, on dit qu’il ne faut pas en parler
Que la fille était belle, mais pas bien futée
Connaissant ses manières, il fallait s’en douter
Elle a posé son cartable, perdu son adolescence
Rangé sagement au fond d’un placard
Ses jolies poupées et son prince charmant
Qui savait lire toute sa misère à voir partir sa jeune innocence
On l’a baptisée du nom de fille-mère, on baptisera l’enfant de votre indifférence
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour une petite mère
Une flamme dans ses yeux
Un enfant nous est né, on dit qu’il ne faut pas en parler
Que la mère, une enfant d’à peine quinze ans
A eu un enfant et ne l’a pas demandé
C’est trop facile de faire la morale, lorsque nos enfants suivent nos routes
J’attends de voir vos désespoirs lorsque l’un d’eux fera le détour
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour toutes les petites mères
Qu’elles trouvent auprès de nous
Oh, mon Dieu
La force, le courage et l’amour
Que la mère, une enfant d’à peine quinze ans
A eu un enfant, et ne l’a pas demandé
Elle rêvait d’un voyage, tout au bout de l’amour
Mais son beau capitaine, un marin d’eau douce
A fait de son rêve un aller sans retour
Qui est l’enfant, qui est la mère? Je crois qu’on ne peut pas le dire
Lequel des deux, dans la tempête, va devoir mener le navire?
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour une petite mère
De la tendresse pour deux
Un enfant nous est né, on dit qu’il ne faut pas en parler
Que la fille était belle, mais pas bien futée
Connaissant ses manières, il fallait s’en douter
Elle a posé son cartable, perdu son adolescence
Rangé sagement au fond d’un placard
Ses jolies poupées et son prince charmant
Qui savait lire toute sa misère à voir partir sa jeune innocence
On l’a baptisée du nom de fille-mère, on baptisera l’enfant de votre indifférence
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour une petite mère
Une flamme dans ses yeux
Un enfant nous est né, on dit qu’il ne faut pas en parler
Que la mère, une enfant d’à peine quinze ans
A eu un enfant et ne l’a pas demandé
C’est trop facile de faire la morale, lorsque nos enfants suivent nos routes
J’attends de voir vos désespoirs lorsque l’un d’eux fera le détour
Si je savais faire des prières
Je demanderais au bon Dieu
Un miracle pour toutes les petites mères
Qu’elles trouvent auprès de nous
Oh, mon Dieu
La force, le courage et l’amour
