Les paroles de la chanson
« Un bonheur qui arrive »
Georges Chelon
Que tu ne m’aies pas attendu
Pour commencer ta vie de femme
Que le rouge ne te vienne plus
Aux joues lorsque je te réclame
C’est d’une telle évidence
Pourquoi en parler plus longtemps
On n’est pas les seuls dans la danse
Et l’on n’a plus vingt ans.
J’envie celui qui a osé
Peut-être avec sa maladresse
Mais qui restera à jamais
Et ça quels que soient la tendresse
Et tout l’amour que j’ai pour toi
Et les années qui vont passer
Dans la tristesse et dans la joie
Le premier homme qui t’a aimée.
C’est un peu comme dans les livres
Qui nous font rêver
C’est un bonheur qui arrive
Sans qu’on l’ait cherché
Après bien des aventures
Qu’il se soit trompé
Il a toujours fière allure
Nous l’avons gardé.
Je croyais tenir dans mes mains
Les rênes de mon existence
Je voyais déjà le chemin
Qui revenait à mon enfance
Sous un petit carré de ciel
Je m’étais déjà retiré
Comme un lézard sous le soleil
Mais voilà tu es arrivée.
Alors je reprends la route
Que j’avais quittée
Un peu trop vite sans doute
Mais qui me retenait
Quand des bras sur vous se resserrent
Pourquoi résister
Tu es ma dernière guerre
Je veux la gagner.
C’est un peu comme dans les livres
Qui nous font rêver
C’est un amour qui arrive
Sans qu’on l’ait cherché.
Pour commencer ta vie de femme
Que le rouge ne te vienne plus
Aux joues lorsque je te réclame
C’est d’une telle évidence
Pourquoi en parler plus longtemps
On n’est pas les seuls dans la danse
Et l’on n’a plus vingt ans.
J’envie celui qui a osé
Peut-être avec sa maladresse
Mais qui restera à jamais
Et ça quels que soient la tendresse
Et tout l’amour que j’ai pour toi
Et les années qui vont passer
Dans la tristesse et dans la joie
Le premier homme qui t’a aimée.
C’est un peu comme dans les livres
Qui nous font rêver
C’est un bonheur qui arrive
Sans qu’on l’ait cherché
Après bien des aventures
Qu’il se soit trompé
Il a toujours fière allure
Nous l’avons gardé.
Je croyais tenir dans mes mains
Les rênes de mon existence
Je voyais déjà le chemin
Qui revenait à mon enfance
Sous un petit carré de ciel
Je m’étais déjà retiré
Comme un lézard sous le soleil
Mais voilà tu es arrivée.
Alors je reprends la route
Que j’avais quittée
Un peu trop vite sans doute
Mais qui me retenait
Quand des bras sur vous se resserrent
Pourquoi résister
Tu es ma dernière guerre
Je veux la gagner.
C’est un peu comme dans les livres
Qui nous font rêver
C’est un amour qui arrive
Sans qu’on l’ait cherché.