Les paroles de la chanson
« Un air de fête »
Ycare
Les aveugles, les sourds, les muets,
Ont vu, entendu et parlé.
Ce soir là...
Ce soir les murs des rues ont bien tremblé
Quand le métro s’est mis à jouer,
Passait une chanson qu’ils ne connaissaient pas.
Les gens jouaient un autre rôle
Et on se sentait un peu drôles.
C’est comme la Marie-Antoinette
Qui a vu rouler sa tête,
Qui ne l’imaginait pas.
C’est comme cette petite cigarette
Qui nous fait tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Les pigeons, les corbeaux, les cons
Ont pensé, souri et chanté.
Ce soir là...
Ce soir c’était la fête dans les prisons,
Les détenus aimaient les matons.
Passait une chanson qu’ils ne connaissaient pas.
Les gens jouaient un autre rôle
Et on se sentait un peu drôles.
C’est comme la Marie-Antoinette
Qui a vu rouler sa tête,
Qui ne l’imaginait pas.
C’est comme cette petite cigarette
Qui nous fait tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Ca donnait un petit air de fête,
À cette Marie sans sa tête
Qui dansait dans le brouillard.
Et ce papier à cigarette pour nous faire tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Les aveugles, les sourds et les muets...
Les veules, les lourds et les boulets...
Les pigeons, les cons et la Joconde...
Les gens, les beaux, les laids...
Tout le monde...
Ca donnait un petit air de fête,
À cette Marie sans sa tête
Qui dansait dans le brouillard.
Et ce papier à cigarette pour nous faire tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Ont vu, entendu et parlé.
Ce soir là...
Ce soir les murs des rues ont bien tremblé
Quand le métro s’est mis à jouer,
Passait une chanson qu’ils ne connaissaient pas.
Les gens jouaient un autre rôle
Et on se sentait un peu drôles.
C’est comme la Marie-Antoinette
Qui a vu rouler sa tête,
Qui ne l’imaginait pas.
C’est comme cette petite cigarette
Qui nous fait tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Les pigeons, les corbeaux, les cons
Ont pensé, souri et chanté.
Ce soir là...
Ce soir c’était la fête dans les prisons,
Les détenus aimaient les matons.
Passait une chanson qu’ils ne connaissaient pas.
Les gens jouaient un autre rôle
Et on se sentait un peu drôles.
C’est comme la Marie-Antoinette
Qui a vu rouler sa tête,
Qui ne l’imaginait pas.
C’est comme cette petite cigarette
Qui nous fait tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Ca donnait un petit air de fête,
À cette Marie sans sa tête
Qui dansait dans le brouillard.
Et ce papier à cigarette pour nous faire tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.
Les aveugles, les sourds et les muets...
Les veules, les lourds et les boulets...
Les pigeons, les cons et la Joconde...
Les gens, les beaux, les laids...
Tout le monde...
Ca donnait un petit air de fête,
À cette Marie sans sa tête
Qui dansait dans le brouillard.
Et ce papier à cigarette pour nous faire tourner la tête,
C’est comme un regard qui traîne et s’arrête sur toi
Qui traîne et s’arrête sur toi.