Les paroles de la chanson
« Tuma »
Marcel Et Son Orchestre
Tuma était incontinent, il empestait, gueulait tout l’temps
Je me demande encore comment on pouvait le trouver attachant
Tuma adorait le tapage et quand son corps trop imbibé
Avait du mal à le ramener, Tuma hurlait pour le stimuler
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
Quand ce vieux se faisait ramasser, il avait bon au décrassage
C’est dans la fureur et la rage, qu’il défendait sa dignité
Il réapparaissait fragile, rasé de près et rhabillé
Mais perdu comme un clébard qui revient du toilettage
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
La Manhattan était l’seul bar où Tuma n’était pas tricard
Souvent entre midi et deux y v’nait y faire son malheureux
Dés qu’une fille lâchait un sourire, il retrouvait goût en l’avenir
Je me souviens de ce couillon marchant devant la procession
Et l’animant, c’est pas banal, en chantant l’internationale
Sous des dehors de vieil anar Tuma n’aiamit pas qu’on rigole
Quand il racontait qu’il avait failli serrer la main d’De Gaulle
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
Le jour où là ville décida la reconquête des lieux publics
On remplaça son banc en bois par du mobilier métallique
Tuma qui n’était pas fakir n’eut pas la force de réagir
Et il est mort, dernier pied d’nez, le jour de la nativité
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
Je me demande encore comment on pouvait le trouver attachant
Tuma adorait le tapage et quand son corps trop imbibé
Avait du mal à le ramener, Tuma hurlait pour le stimuler
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
Quand ce vieux se faisait ramasser, il avait bon au décrassage
C’est dans la fureur et la rage, qu’il défendait sa dignité
Il réapparaissait fragile, rasé de près et rhabillé
Mais perdu comme un clébard qui revient du toilettage
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
La Manhattan était l’seul bar où Tuma n’était pas tricard
Souvent entre midi et deux y v’nait y faire son malheureux
Dés qu’une fille lâchait un sourire, il retrouvait goût en l’avenir
Je me souviens de ce couillon marchant devant la procession
Et l’animant, c’est pas banal, en chantant l’internationale
Sous des dehors de vieil anar Tuma n’aiamit pas qu’on rigole
Quand il racontait qu’il avait failli serrer la main d’De Gaulle
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}
Le jour où là ville décida la reconquête des lieux publics
On remplaça son banc en bois par du mobilier métallique
Tuma qui n’était pas fakir n’eut pas la force de réagir
Et il est mort, dernier pied d’nez, le jour de la nativité
Jamais, non jamais, Tuma mourra jamais {x2}