Les paroles de la chanson
« Tueur de frigo »
Richard Gotainer
Tueur De Frigo
Le combat "bol de crême
contre cuillère à pot"
ce bras de fer en moi-même,
c’est la lutte au couteau.
Méchant casseur de dalles,
surineur aux longs crocs,
je suis l’affreux morfal,
le Tueur De Frigo.
Combien j’ai zigouillé,
la nuit, à l’arme blanche,
de desserts vanillés,
de pain d’épices en tranches?
Combien j’ai dégommé
de pots de confitures?
De sardines déssoudées,
au canif, à la dure?
Refrain :
Tueur De Frigo,
killer de gigot,
- gare à la razzia -
Tueur De Frigo,
killer de choco... Preneur de kilos.
Je suis l’affreux jojo,
le Tueur De Frigo,
je tue tartes et tourtes,
j’assassine les yoghourts.
Une bonne petite mousseline
à même le lavabo;
Moi, quand j’entre en cuisine,
faut pas m’chatouiller de trop.
J’en ai fait des purées
enrichies à la s’moule.
Qu’est ce que j’ai pu touiller
comme gateries qu’on démoule.
Cette dalle assassine
Qui pousse au raviolis,
à la nouille en bassine,
aux wagons d’chantilly.
Cette fringale me dévore,
et encore, et encore,
reviens, honey, reviens,
quand t’es pas là... j’ai faim.
Refrain...
Comme il est gros le bide,
quand tu pars mon chaton;
Bourratif le suicide
à la crême de marrons.
Je bouffe à en mourrir,
arrête-moi de grossir, please.
Reviens, honey, reviens,
quand t’es pas là... j’ai faim.
Refrain...
Le combat "bol de crême
contre cuillère à pot"
ce bras de fer en moi-même,
c’est la lutte au couteau.
Méchant casseur de dalles,
surineur aux longs crocs,
je suis l’affreux morfal,
le Tueur De Frigo.
Combien j’ai zigouillé,
la nuit, à l’arme blanche,
de desserts vanillés,
de pain d’épices en tranches?
Combien j’ai dégommé
de pots de confitures?
De sardines déssoudées,
au canif, à la dure?
Refrain :
Tueur De Frigo,
killer de gigot,
- gare à la razzia -
Tueur De Frigo,
killer de choco... Preneur de kilos.
Je suis l’affreux jojo,
le Tueur De Frigo,
je tue tartes et tourtes,
j’assassine les yoghourts.
Une bonne petite mousseline
à même le lavabo;
Moi, quand j’entre en cuisine,
faut pas m’chatouiller de trop.
J’en ai fait des purées
enrichies à la s’moule.
Qu’est ce que j’ai pu touiller
comme gateries qu’on démoule.
Cette dalle assassine
Qui pousse au raviolis,
à la nouille en bassine,
aux wagons d’chantilly.
Cette fringale me dévore,
et encore, et encore,
reviens, honey, reviens,
quand t’es pas là... j’ai faim.
Refrain...
Comme il est gros le bide,
quand tu pars mon chaton;
Bourratif le suicide
à la crême de marrons.
Je bouffe à en mourrir,
arrête-moi de grossir, please.
Reviens, honey, reviens,
quand t’es pas là... j’ai faim.
Refrain...