Les paroles de la chanson
« Tu te reconnaîtras »
Michel Sardou
Je n’me suis jamais trouvé beau.
C’est un complexe qui n’s’en va pas,
Alors je m’en sors par un mot
Quelque fois drôle, quelque fois pas.
Pourtant, je sais ma préférence.
Je connais celle qu’il me fallait
Mais je n’ai pas tenté ma chance,
Rien dit de ce qu’elle attendait.
Ce soir-là, tu étais très blonde,
Un feutre noir, un manteau long.
On s’est entrevus une seconde.
Tu dînais avec un garçon.
Dans cette seconde, tu m’as souri.
Je t’ai trouvée belle à mourir
Mais nous n’avons rien pu nous dire.
Peut-être ai-je d’ailleurs mal compris.
C’ètait un restaurant d’hôtel,
Les tables éclairées aux chandelles.
Tu étais à dix pas de moi
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Que tu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.
J’ai quitté la salle en premier.
Je sais que tu m’as vu partir.
J’aurais aimé me retourner
Mais qu’aurais-je trouvé à te dire?
J’ai vu que l’homme prenait ta main.
Je l’ai haï du fond du cœur.
J’ai bien compris qu’il n’était rien,
Sinon ton accompagnateur.
C’était un restaurant de nuit,
Les tables éclairées aux bougies.
Tu étais à dix pas de moi
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Que tu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.
Ce soir-là, tu étais très blonde,
Un feutre noir, un manteau long.
On s’est entrevus une seconde.
Tu dînais avec un garçon.
Dans cette seconde tu m’as souri.
Je t’ai trouvée belle à mourir.
Peut-être aurai-je, pour te le dire,
Un prochain soir dans cette vie
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Quetu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.
C’est un complexe qui n’s’en va pas,
Alors je m’en sors par un mot
Quelque fois drôle, quelque fois pas.
Pourtant, je sais ma préférence.
Je connais celle qu’il me fallait
Mais je n’ai pas tenté ma chance,
Rien dit de ce qu’elle attendait.
Ce soir-là, tu étais très blonde,
Un feutre noir, un manteau long.
On s’est entrevus une seconde.
Tu dînais avec un garçon.
Dans cette seconde, tu m’as souri.
Je t’ai trouvée belle à mourir
Mais nous n’avons rien pu nous dire.
Peut-être ai-je d’ailleurs mal compris.
C’ètait un restaurant d’hôtel,
Les tables éclairées aux chandelles.
Tu étais à dix pas de moi
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Que tu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.
J’ai quitté la salle en premier.
Je sais que tu m’as vu partir.
J’aurais aimé me retourner
Mais qu’aurais-je trouvé à te dire?
J’ai vu que l’homme prenait ta main.
Je l’ai haï du fond du cœur.
J’ai bien compris qu’il n’était rien,
Sinon ton accompagnateur.
C’était un restaurant de nuit,
Les tables éclairées aux bougies.
Tu étais à dix pas de moi
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Que tu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.
Ce soir-là, tu étais très blonde,
Un feutre noir, un manteau long.
On s’est entrevus une seconde.
Tu dînais avec un garçon.
Dans cette seconde tu m’as souri.
Je t’ai trouvée belle à mourir.
Peut-être aurai-je, pour te le dire,
Un prochain soir dans cette vie
Mais c’est dans tout c’que je n’dis pas
Que tu te reconnaîtras,
Que tu te reconnaîtras,
Et c’est dans tout c’que je n’ose pas,
Quetu me reconnaîtras,
Que tu me reconnaîtras.