Les paroles de la chanson
« Tu pues benny »
Sanseverino
Benny, ce mec est un salaud
Un Parigot, un gros lourdaud
Un mange-tes-morts, un matamore
Il en a gros sur la patate
Et il trimballe de vieilles casseroles
Qui sentent autant que ses grolles
Il est râblé, il est costaud
Il a une grosse tête de maquereau
Des p’tits yeux noirs tout rapprochés de son gros nez
De toute sa vie, il s’est jamais lavé les dents
Il a une haleine de mort-vivant
Il a une dégaine de clodo
Et on l’ prend pour un mendigot
Il a une collection de points noirs
Il a jamais vu un mouchoir
Et l’hiver, quand il a l’ nez plein
Il balance tout à la main
Il a un appétit féroce
Il a dû déjà bouffer des gosses
Il doit se remplir le cornet comme un goret
Jamais on n’a vu d’homme avec aussi peu de manières
Et en plus il boit des litres
Et des litres, et des litres de bière
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort!
Mais j’ t’aimerai jusqu’à ta mort
Il est toujours de mauvaise humeur
Tous ses habits sentent la sueur
De ses cheveux gras tombent des croûtes d’eczéma
Par paquets poussent des champignons
Entre les doigts de ses arpions, et il ronfle
Comme un gardien d’ prison
Comment fait-elle pour l’aimer tant?
La wife à Benny-le-dégoûtant
Quand elle met le nez vers ses dessous de bras
Ça sent la pisse de chat
Comment fait-elle pour le tripoter partout?
C’ n’est pas un homme, virgule, c’est un égout
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort, chéri
Mais j’ t’aimerai jusqu’à la fin de ta vie
Toute ta vie, quoi
Maintenant que le décor est planté
Comme un couteau dans un pâté
Qu’est-ce qui va bien pouvoir lui arriver, hein?
Assis sur son canapé, il se lève d’un bond
Puis il dit "J’ vais acheter du jambon"
Comme en chemin il avait faim
Il achète un kilo d’ boudin,
Une tranche de foie
Et des lasagnes dans du pain
Du maroilles, cent grammes de gruyère
Des patates, du camembert
Mais ça manque un peu de dessert
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort!
Mais j’ t’aimerai jusqu’à ta mort
Déjà, vivant, tu sentais fort
Mais alors, mort!
Un Parigot, un gros lourdaud
Un mange-tes-morts, un matamore
Il en a gros sur la patate
Et il trimballe de vieilles casseroles
Qui sentent autant que ses grolles
Il est râblé, il est costaud
Il a une grosse tête de maquereau
Des p’tits yeux noirs tout rapprochés de son gros nez
De toute sa vie, il s’est jamais lavé les dents
Il a une haleine de mort-vivant
Il a une dégaine de clodo
Et on l’ prend pour un mendigot
Il a une collection de points noirs
Il a jamais vu un mouchoir
Et l’hiver, quand il a l’ nez plein
Il balance tout à la main
Il a un appétit féroce
Il a dû déjà bouffer des gosses
Il doit se remplir le cornet comme un goret
Jamais on n’a vu d’homme avec aussi peu de manières
Et en plus il boit des litres
Et des litres, et des litres de bière
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort!
Mais j’ t’aimerai jusqu’à ta mort
Il est toujours de mauvaise humeur
Tous ses habits sentent la sueur
De ses cheveux gras tombent des croûtes d’eczéma
Par paquets poussent des champignons
Entre les doigts de ses arpions, et il ronfle
Comme un gardien d’ prison
Comment fait-elle pour l’aimer tant?
La wife à Benny-le-dégoûtant
Quand elle met le nez vers ses dessous de bras
Ça sent la pisse de chat
Comment fait-elle pour le tripoter partout?
C’ n’est pas un homme, virgule, c’est un égout
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort, chéri
Mais j’ t’aimerai jusqu’à la fin de ta vie
Toute ta vie, quoi
Maintenant que le décor est planté
Comme un couteau dans un pâté
Qu’est-ce qui va bien pouvoir lui arriver, hein?
Assis sur son canapé, il se lève d’un bond
Puis il dit "J’ vais acheter du jambon"
Comme en chemin il avait faim
Il achète un kilo d’ boudin,
Une tranche de foie
Et des lasagnes dans du pain
Du maroilles, cent grammes de gruyère
Des patates, du camembert
Mais ça manque un peu de dessert
Tu manges gras, Benny!
Une diète te sauverait la vie
Une douche serait pas d’ trop non plus
Pour la femme qui est dans ton lit, qui t’ dit qu’ tu pues
Ouah, tu pues Benny, qu’est-ce que tu sens fort!
Mais j’ t’aimerai jusqu’à ta mort
Déjà, vivant, tu sentais fort
Mais alors, mort!