Les paroles de la chanson
« Tu n'es pas là »
Cristof Gere
Tu n’es pas là,
Il y a longtemps que je ne rêve plus de toi
Où bien alors je crois que je n’ m’en souviens pas
Tu sais, c’est vraiment pas la peine que tu m’achèves
C’est déjà fait si souvent, sans cesse et sans trêve,
Cette fois-ci je n’y crois plus
Et l’on ne m’y reprendra plus
Je t’ai perdue
Tu as fui sans explication, sans retenue,
Sans un regard, que j’aurai sans doute soutenu
Avant de s’éteindre, la flamme vacillait longtemps
Mais il persiste encore quelques charbons ardents
La chaleur s’auto-alimente
Dans la fièvre de ma tourmente
Sors de ma vie
Mais qu’est-ce que je raconte? Tu es déjà partie
Tu as gagné, tu l’as voulu, c’est bien fini,
Toutes les étoiles qui représentaient mes espoirs,
Une à une, se sont éteintes soir après soir
Cette fois-ci j’ai bien compris
Que l’amour parfois se détruit
Tu n’es pas là
Et tu me manques encore
Tu n’es pas là
Et ton image s’évapore
Je ne sais plus
Demain peut-être tu revisiteras mon cœur
Peut-être même que je repenserai au bonheur
Et puis plus tard, lorsque je sentirai l’absence
Il faudra bien que je me rende à l’évidence
Tu n’es pas là et je le sais,
Dans mon délire, je l’oubliais.
Il y a longtemps que je ne rêve plus de toi
Où bien alors je crois que je n’ m’en souviens pas
Tu sais, c’est vraiment pas la peine que tu m’achèves
C’est déjà fait si souvent, sans cesse et sans trêve,
Cette fois-ci je n’y crois plus
Et l’on ne m’y reprendra plus
Je t’ai perdue
Tu as fui sans explication, sans retenue,
Sans un regard, que j’aurai sans doute soutenu
Avant de s’éteindre, la flamme vacillait longtemps
Mais il persiste encore quelques charbons ardents
La chaleur s’auto-alimente
Dans la fièvre de ma tourmente
Sors de ma vie
Mais qu’est-ce que je raconte? Tu es déjà partie
Tu as gagné, tu l’as voulu, c’est bien fini,
Toutes les étoiles qui représentaient mes espoirs,
Une à une, se sont éteintes soir après soir
Cette fois-ci j’ai bien compris
Que l’amour parfois se détruit
Tu n’es pas là
Et tu me manques encore
Tu n’es pas là
Et ton image s’évapore
Je ne sais plus
Demain peut-être tu revisiteras mon cœur
Peut-être même que je repenserai au bonheur
Et puis plus tard, lorsque je sentirai l’absence
Il faudra bien que je me rende à l’évidence
Tu n’es pas là et je le sais,
Dans mon délire, je l’oubliais.