Les paroles de la chanson
« Tu aimes faire pleurer les femmes »
Bourvil
- Dès que je te vois, je suis folle de joie
- Pas de boniments, hein. Je t’en prie, va-t’en, hein
- Oh toi, tu aimes faire pleurer les femmes
- J’ pense bien, je t’en prie, tais-toi, hein
- Mais je suis à toi
- Première nouvelle
- Tu n’ le sais donc pas?
- Ça m’intéresse pas
- Ô toi...
- Mais, qu’est-ce que c’est ce genre-là?
- Tu aimes faire pleurer les femmes
Pourquoi passes-tu sans te retourner?
- Oh, dis, hein
- Moi, qui devant toi, reste en extase
- Une fois, en marchant, j’ me suis r’tourné
Et puis, je me suis mis le nez sur un bec de gaz
Alors,... hè hè hè hè hè
- J’ai souffert pour toi
- J’ pense bien
- Comme une martyre
- T’es trop sensible
- Est-ce que tu me crois?
- Ah! laisse-moi donc rire, hein
- Ô toi...
- C’est pas rien, alors
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- Tu pleures d’un rien, c’est ça qu’ t’as
- Avant
- Oui?
- De te rencontrer
- Oui
- Jamais
- Oui
- Je n’ai tant aimé
- Ah! Ah! Ah! Que tu dis!
- Sois gentil
- Tu m’ennuies
- Oh! chéri
- Tu m’ennuies!
- Oh! chéri
- T’as fini, oui? Ah! Ah! Ah!
- Pourquoi ce rire sardonique?
Pourquoi cet air sarcastique?
- Sarcastique?
- Sois gentil
- Sarcastique, vous vous rendez compte?
- Oh! chéri
- Tu m’embêtes avec tes «sarcastique»
- Oh! chéri
- Tu ferais mieux d’ faire du tricot
- Dès que je te vois
- Encore!
- Je suis folle de joie
- Tu m’ l’as déjà dit! Assez, j’ai compris, hein!
- Ô toi...
- V’là qu’ ça r’commence
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- Mais... heureusement que j’étais là, hein
- Oui, mon chéri
- Mais qu’est-ce que tu dis?
- J’adore ta voix
- Mais, tu n’ te fous pas d’ moi, non?
- Ô toi...
- Qué tristesse de voir ça
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- T’as pas honte de pleurer comme ça?
Ah puis, tu vas voir. Comme tu veux pleurer
J’ vais t’ foutre une bonne trempe, moi
Comme ça, tu vas pleurer pour quéqu’ chose
- J’ t’adore, tu es mon homme
- Ah! bon?
- Je veux t’épouser
- Ah! ben, ça va pas mieux
- Je gagnerai d’ l’argent, t’auras la vie en rose
- Mais, comment qu’ tu f’ras? T’as un fonds d’ commerce?
- T’en fais pas pour ça
- Non
- Ah! tu me bouleverses. Et moi, je f’rai tout pour devenir ta femme
- Eh, j’ crois qu’ c’est une très brave fille, ça, au fond, hein
- Pas de boniments, hein. Je t’en prie, va-t’en, hein
- Oh toi, tu aimes faire pleurer les femmes
- J’ pense bien, je t’en prie, tais-toi, hein
- Mais je suis à toi
- Première nouvelle
- Tu n’ le sais donc pas?
- Ça m’intéresse pas
- Ô toi...
- Mais, qu’est-ce que c’est ce genre-là?
- Tu aimes faire pleurer les femmes
Pourquoi passes-tu sans te retourner?
- Oh, dis, hein
- Moi, qui devant toi, reste en extase
- Une fois, en marchant, j’ me suis r’tourné
Et puis, je me suis mis le nez sur un bec de gaz
Alors,... hè hè hè hè hè
- J’ai souffert pour toi
- J’ pense bien
- Comme une martyre
- T’es trop sensible
- Est-ce que tu me crois?
- Ah! laisse-moi donc rire, hein
- Ô toi...
- C’est pas rien, alors
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- Tu pleures d’un rien, c’est ça qu’ t’as
- Avant
- Oui?
- De te rencontrer
- Oui
- Jamais
- Oui
- Je n’ai tant aimé
- Ah! Ah! Ah! Que tu dis!
- Sois gentil
- Tu m’ennuies
- Oh! chéri
- Tu m’ennuies!
- Oh! chéri
- T’as fini, oui? Ah! Ah! Ah!
- Pourquoi ce rire sardonique?
Pourquoi cet air sarcastique?
- Sarcastique?
- Sois gentil
- Sarcastique, vous vous rendez compte?
- Oh! chéri
- Tu m’embêtes avec tes «sarcastique»
- Oh! chéri
- Tu ferais mieux d’ faire du tricot
- Dès que je te vois
- Encore!
- Je suis folle de joie
- Tu m’ l’as déjà dit! Assez, j’ai compris, hein!
- Ô toi...
- V’là qu’ ça r’commence
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- Mais... heureusement que j’étais là, hein
- Oui, mon chéri
- Mais qu’est-ce que tu dis?
- J’adore ta voix
- Mais, tu n’ te fous pas d’ moi, non?
- Ô toi...
- Qué tristesse de voir ça
- Tu aimes faire pleurer les femmes
- T’as pas honte de pleurer comme ça?
Ah puis, tu vas voir. Comme tu veux pleurer
J’ vais t’ foutre une bonne trempe, moi
Comme ça, tu vas pleurer pour quéqu’ chose
- J’ t’adore, tu es mon homme
- Ah! bon?
- Je veux t’épouser
- Ah! ben, ça va pas mieux
- Je gagnerai d’ l’argent, t’auras la vie en rose
- Mais, comment qu’ tu f’ras? T’as un fonds d’ commerce?
- T’en fais pas pour ça
- Non
- Ah! tu me bouleverses. Et moi, je f’rai tout pour devenir ta femme
- Eh, j’ crois qu’ c’est une très brave fille, ça, au fond, hein