Les paroles de la chanson
« Trou la la itou »
Tohama
Rien qu’à mon air enjôleur et mariolle
On peut voir, quand j’ rigole
Que je suis du Tyrol
Mais je n’ suis pas une gardienne de moutons
Ni de veaux, ni de vaches, ni d’ cochons
Je cours dans la montagne
Le vent m’accompagne
Quand j’ lance aux échos
Mon refrain dynamique
Qui sème la panique
Dans tous les troupeaux
Je chante, je chante sans me lasser
La fraîcheur des sentiers
Et du lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Mieux que n’importe quel troubadour
Trou la la y la itou
Trou la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Trou la la y la itou
Trou la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!
Un beau jour de la s’maine des quat’ jeudis
Un berger dégourdi
Me fit d’ l’œil et me dit
«Viens avec moi sur le flanc du coteau
J’ t’offrirai pour trois francs d’ bigorneaux»
J’ai répondu «Vieux frère
Va-t’en faire lanlaire
Ne compte pas sur moi»
J’ préfère la solitude
J’en ai l’habitude
Et voilà pourquoi
Je chante, je chante sans me lasser
La fraîcheur des sentiers
Et du lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Mieux que n’importe quel troubadour
Oh la y la y la y la itou
Oh la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Oh la la y la itou
Oh la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!
Oui mais voilà, c’était un beau parleur
Avec des mots charmeurs
Il a touché mon cœur
Les bigorneaux étaient vraiment exquis
Que, sans me faire prier, j’en ai r’pris
Et depuis cette histoire
Vous pouvez m’en croire
J’ai des émotions
Le soir, dans le silence
Chaque jour, on r’commence
Et, folle de passion...
Je chante, je chante les doux baisers
C’est beaucoup plus corsé
Que le lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Le refrain merveilleux de l’amour
Oh la y la y la y la y la itou
Oh la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Oh la la y la itou
Oh la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!
On peut voir, quand j’ rigole
Que je suis du Tyrol
Mais je n’ suis pas une gardienne de moutons
Ni de veaux, ni de vaches, ni d’ cochons
Je cours dans la montagne
Le vent m’accompagne
Quand j’ lance aux échos
Mon refrain dynamique
Qui sème la panique
Dans tous les troupeaux
Je chante, je chante sans me lasser
La fraîcheur des sentiers
Et du lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Mieux que n’importe quel troubadour
Trou la la y la itou
Trou la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Trou la la y la itou
Trou la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!
Un beau jour de la s’maine des quat’ jeudis
Un berger dégourdi
Me fit d’ l’œil et me dit
«Viens avec moi sur le flanc du coteau
J’ t’offrirai pour trois francs d’ bigorneaux»
J’ai répondu «Vieux frère
Va-t’en faire lanlaire
Ne compte pas sur moi»
J’ préfère la solitude
J’en ai l’habitude
Et voilà pourquoi
Je chante, je chante sans me lasser
La fraîcheur des sentiers
Et du lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Mieux que n’importe quel troubadour
Oh la y la y la y la itou
Oh la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Oh la la y la itou
Oh la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!
Oui mais voilà, c’était un beau parleur
Avec des mots charmeurs
Il a touché mon cœur
Les bigorneaux étaient vraiment exquis
Que, sans me faire prier, j’en ai r’pris
Et depuis cette histoire
Vous pouvez m’en croire
J’ai des émotions
Le soir, dans le silence
Chaque jour, on r’commence
Et, folle de passion...
Je chante, je chante les doux baisers
C’est beaucoup plus corsé
Que le lait condensé
Je chante, je chante la nuit, le jour
Le refrain merveilleux de l’amour
Oh la y la y la y la y la itou
Oh la la y la itou
Un oiseau fait tout à coup
Coucou!
Oh la la y la itou
Oh la la y la iti
Mon Tyrol, c’est l’ paradis
You hou!