Les paroles de la chanson
« Trop fou pour toi »
Satan Jokers
Les filles et la musique
Occupent mes journées
Je découvre l’Amérique
Quand la nuit est tombée
De la scène je les vois
Toutes mouillées dans leur cuir
Un geste elles sont à moi
Pour une nuit de délires
Pour moi, ce n’est plus un mystère
Je dois avoir un air pervers
J’aime savoir qu’elles m’attendent
Dans leur draps de satin
Quand l’arc d’Eros se bande
J’ai leur vie dans mes mains
CHORUS : Briseurs de coeurs, rêves classés X
Je suis trop fou pour toi, beaucoup trop fou pour toi
Menteur, tricheur, je vend du vice
Tu n’m’auras pas comme ça, j’pourrai pas rester là
Quand je marche dans la rue
Qu’une fille me voit passer
Elle s’imagine nue
Couchée à mes côtés
Française ou étrangère
Sur moi ses yeux se posent
Distinguée ou vulgaire
Plus rien ne m’indispose
Pour moi ce n’est plus un mystère
Je dois avoir un air pervers
En robe ou pantalon
J’nai plus de préférence
Baskets ou bas nylon
Faut qu’je contrôle mes sens
CHORUS
BRIDGE : Qui se cache dérrière le bouffon
Mon sourire est celui du Démon
Tu vois tu n’changeras pas ma vie
Rappels, hôtels, ce soir je m’enfuis
Occupent mes journées
Je découvre l’Amérique
Quand la nuit est tombée
De la scène je les vois
Toutes mouillées dans leur cuir
Un geste elles sont à moi
Pour une nuit de délires
Pour moi, ce n’est plus un mystère
Je dois avoir un air pervers
J’aime savoir qu’elles m’attendent
Dans leur draps de satin
Quand l’arc d’Eros se bande
J’ai leur vie dans mes mains
CHORUS : Briseurs de coeurs, rêves classés X
Je suis trop fou pour toi, beaucoup trop fou pour toi
Menteur, tricheur, je vend du vice
Tu n’m’auras pas comme ça, j’pourrai pas rester là
Quand je marche dans la rue
Qu’une fille me voit passer
Elle s’imagine nue
Couchée à mes côtés
Française ou étrangère
Sur moi ses yeux se posent
Distinguée ou vulgaire
Plus rien ne m’indispose
Pour moi ce n’est plus un mystère
Je dois avoir un air pervers
En robe ou pantalon
J’nai plus de préférence
Baskets ou bas nylon
Faut qu’je contrôle mes sens
CHORUS
BRIDGE : Qui se cache dérrière le bouffon
Mon sourire est celui du Démon
Tu vois tu n’changeras pas ma vie
Rappels, hôtels, ce soir je m’enfuis