Les paroles de la chanson
« Trop de tout »
Nill Klemm
TROP DE TOUT
De plus en plus de bruit juste pour couvrir l’ennui
Les silences qui s’obstinent et qui obsèdent
Tous ces trop-pleins de vie de moins en moins remplis
C’est le blues du people connected
De plus en plus de friends, de moins en moins d’amis
Je te twitter, je te smallworld, je te myspace
De plus en plus en live, de moins en moins en vie
Tu me meetic, tu me link’in, tu me face
On post des comments, mais au poste de commande
Y’a plus que des avatars, des noms de code, des pseudos
On a la life qui s’étale, on s’raconte, on s’invente
On est comme Wallace… et Gros Mytho
Trop de tout, ça va finir par faire beaucoup
Par ne plus avoir de goût, par ne plus tenir debout
Trop pour rien, trop pour tenir entre nos mains
Pour tenir lieu de lendemain
Gavés de trop jusqu’à plus faim
212 chaînes satellite, 330 sur le câble
J’passe mes journées à faire des zap et des clics
Le développement de mon cerveau, de moins en moins durable
Ca, c’est vraiment le bouquet… numérique
Les bad news qui fusent, les antennes qui diffusent
Tout ce que je sais c’est à la TV que je le dois
C’est pas que je veuille me trouver des excuses
Mais pourquoi je lirais? Y’en a qui le font pour moi…
Le monde tenait qu’à un fil, maintenant qu’il est en wi-fi
Qu’est-ce qui le retient d’aller tout droit dans le mur?
On simule, on x-boxe, on psp et on wii,
On refait l’avenir pour fuir le futur
Trop de tout, ça va finir par faire beaucoup
Par ne plus avoir de goût, par ne plus tenir debout
Trop pour rien, trop pour tenir entre nos mains
Pour tenir lieu de lendemain
Gavés de trop jusqu’à plus faim
Trop de tout, trop de je, de tu, il, de nous
Et tous ces trop mis bout-à-bout
Au bout du compte, ça nous mène où?
De plus en plus de bruit juste pour couvrir l’ennui
Les silences qui s’obstinent et qui obsèdent
Tous ces trop-pleins de vie de moins en moins remplis
C’est le blues du people connected
De plus en plus de friends, de moins en moins d’amis
Je te twitter, je te smallworld, je te myspace
De plus en plus en live, de moins en moins en vie
Tu me meetic, tu me link’in, tu me face
On post des comments, mais au poste de commande
Y’a plus que des avatars, des noms de code, des pseudos
On a la life qui s’étale, on s’raconte, on s’invente
On est comme Wallace… et Gros Mytho
Trop de tout, ça va finir par faire beaucoup
Par ne plus avoir de goût, par ne plus tenir debout
Trop pour rien, trop pour tenir entre nos mains
Pour tenir lieu de lendemain
Gavés de trop jusqu’à plus faim
212 chaînes satellite, 330 sur le câble
J’passe mes journées à faire des zap et des clics
Le développement de mon cerveau, de moins en moins durable
Ca, c’est vraiment le bouquet… numérique
Les bad news qui fusent, les antennes qui diffusent
Tout ce que je sais c’est à la TV que je le dois
C’est pas que je veuille me trouver des excuses
Mais pourquoi je lirais? Y’en a qui le font pour moi…
Le monde tenait qu’à un fil, maintenant qu’il est en wi-fi
Qu’est-ce qui le retient d’aller tout droit dans le mur?
On simule, on x-boxe, on psp et on wii,
On refait l’avenir pour fuir le futur
Trop de tout, ça va finir par faire beaucoup
Par ne plus avoir de goût, par ne plus tenir debout
Trop pour rien, trop pour tenir entre nos mains
Pour tenir lieu de lendemain
Gavés de trop jusqu’à plus faim
Trop de tout, trop de je, de tu, il, de nous
Et tous ces trop mis bout-à-bout
Au bout du compte, ça nous mène où?