Les paroles de la chanson
« Trop de silence »
Mano Solo
Sans toi, sans moi, sans nous, sans rien.
Comme en vacances dans un pays aux murs trop blancs,
où viennent en nombre buter les idées sombres,
sur les décombres d’un cœur qui sombre.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
Sans te parler, sans t’appeler,
sans t’écrire, sans rien choisir,
sans rien attendre, sans rien entendre,
sans rien comprendre.
Sans sentir ta voix et tes mots posés sur moi.
Sans entendre la musique de ta peau sur mes draps.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
J’ai pas vu ce matin sortir tes fesses de nos draps sales.
J’ai pas senti ta main sur mes cheveux,
comme pour me réchauffer le rêve.
Encore moins ton souffle dans mon cou,
ni tes lèvres me susurrer un au revoir,
à plus tard.
Tout ça, ça me fait penser qu’hier non plus.
En pleine lumière sans un coin d’ombre
bien trop sincère pour pas être tout seul au monde.
Comme un chien dans l’arène de mon propre désir,
j’aboie à perdre haleine, je supplie la fin du martyr.
Mais les habits de lumière ne tireront jamais leur gloire
à me faire toucher terre, on coupe les phares,
fini la fanfare, je reste dans le noir.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
Comme en vacances dans un pays aux murs trop blancs,
où viennent en nombre buter les idées sombres,
sur les décombres d’un cœur qui sombre.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
Sans te parler, sans t’appeler,
sans t’écrire, sans rien choisir,
sans rien attendre, sans rien entendre,
sans rien comprendre.
Sans sentir ta voix et tes mots posés sur moi.
Sans entendre la musique de ta peau sur mes draps.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
J’ai pas vu ce matin sortir tes fesses de nos draps sales.
J’ai pas senti ta main sur mes cheveux,
comme pour me réchauffer le rêve.
Encore moins ton souffle dans mon cou,
ni tes lèvres me susurrer un au revoir,
à plus tard.
Tout ça, ça me fait penser qu’hier non plus.
En pleine lumière sans un coin d’ombre
bien trop sincère pour pas être tout seul au monde.
Comme un chien dans l’arène de mon propre désir,
j’aboie à perdre haleine, je supplie la fin du martyr.
Mais les habits de lumière ne tireront jamais leur gloire
à me faire toucher terre, on coupe les phares,
fini la fanfare, je reste dans le noir.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.