Les paroles de la chanson
« Trop »
Lofofora
J’ai trop répandu de ma sueur
sur des millions de kilomètres,
l’asphalte est devenue ma sœur.
J’ai trop explosé dans la joie
Mêlée de fièvre et de violence,
Rentré chez moi tard le dimanche.
J’ai trop bouffé de décibels
A m’endormir chez les abeilles
Qui rejouent le concert de la veille.
J’ai trop croisé ceux qui se lèvent,
A l’heure où je vais me coucher,
Trouvé la journée un peu brève.
REFRAIN
Et même quand trop c’est trop
C’est encore pas assez.
C’est trop tard, j’ai bien trop de défauts
Et encore trop de bornes à dépasser.
J’ai trop un orgueil à la con
Qui veut garder ses rêves de gosses
Propres même s’ils ont pris des bosses.
J’ai trop de cafards qui surgissent
S’il y pas de son qui fracasse,
Un riff incendiaire qui décrasse.
J’ai trop de mépris pour le business,
Pour ceux qui leur vendent leurs fesses
Pour qu’on voit mon cul dans la presse.
J’ai trop pas la vie d’une vraie star.
Viens faire un tour chez moi pour voir
S’il y a des nouilles dans mon caviar.
REFRAIN
J’en veux encore
Jusqu’à la mort
Parce que j’ai trop peur de me faire chier
Dans la routine d’un paradis
A payer trente ans à crédit
Et j’ai bien trop envie de continuer
A gueuler, bouger comme un barge,
Je suis plus libre dans la marge.
REFRAIN
sur des millions de kilomètres,
l’asphalte est devenue ma sœur.
J’ai trop explosé dans la joie
Mêlée de fièvre et de violence,
Rentré chez moi tard le dimanche.
J’ai trop bouffé de décibels
A m’endormir chez les abeilles
Qui rejouent le concert de la veille.
J’ai trop croisé ceux qui se lèvent,
A l’heure où je vais me coucher,
Trouvé la journée un peu brève.
REFRAIN
Et même quand trop c’est trop
C’est encore pas assez.
C’est trop tard, j’ai bien trop de défauts
Et encore trop de bornes à dépasser.
J’ai trop un orgueil à la con
Qui veut garder ses rêves de gosses
Propres même s’ils ont pris des bosses.
J’ai trop de cafards qui surgissent
S’il y pas de son qui fracasse,
Un riff incendiaire qui décrasse.
J’ai trop de mépris pour le business,
Pour ceux qui leur vendent leurs fesses
Pour qu’on voit mon cul dans la presse.
J’ai trop pas la vie d’une vraie star.
Viens faire un tour chez moi pour voir
S’il y a des nouilles dans mon caviar.
REFRAIN
J’en veux encore
Jusqu’à la mort
Parce que j’ai trop peur de me faire chier
Dans la routine d’un paradis
A payer trente ans à crédit
Et j’ai bien trop envie de continuer
A gueuler, bouger comme un barge,
Je suis plus libre dans la marge.
REFRAIN