Les paroles de la chanson
« Tribal poursuite »
Sniper
Tayo, tayo, j’dis bye-bye face aux fachos,
Là y’a pas moyens j’tailla tour a lo mejor
Ma paire de San Smith,
Comme complice face aux skins qui m’collent aux seufs
Pour qu’on court là où on est sauve moi et mes reufs
Mec mec, il me faut une planque,
Il faut que j’y aille sans qu’ils
Me voient pour m’poser tranquille
Dès qu’ils seront assez loin ces salaud
Pour l’moment j’cours au galop
Comme un ouf, de plus j’ai mal au
Genou, géné, je n’ai qu’à m’cacher sous une ture-voi
Avec un peu de chance, ils passeront, ils ne me verront même pas
Ils tracent tout droit, d’la bale, j’suis même pas tricard
Tout s’déroulait comme prévu jusqu’à ce que cette voiture démarre
Je sors de là-dessous, avant qu’elle m’roule dessus
Mais nos skins là-dessous, sont là ils m’tombent dessus
Me faire la peau, c’est tout ce dont ils ont envie.
Va falloir s’goumer pour rester en vie.
Me voilà face à face aux 3 têtes blanches et rasées d’près
Ah ouais ma bouille ce soir pas d’chance à croire que tout est fait exprès
J’aurais dû rester chez oim, rester posé devant la télé
J’étais parti pour voter, décumer mon cul, j’me mange une mêlée
Ces fellés, ont dû prendre ma gueule pour un ballon de foot
Je voyais déjà mon cadavre allongé sur l’côté d’la route
J’suis mal barré, faut faire mon skeup,
Faut que j’retrouve mes tepos
J’finirais pas dans la Seine, victime de la folie des fachos.
{au Refrain, x2}
Moi direct, j’tape la fuite, j’trace tout droit le plus vite possible
Les nos qui sont à mes trousses, ils m’ont pris pour cible
J’arrive dans une impasse, j’suis coincé
J’mate autour de moi, rien à faire, merde j’suis bel et bien bloqué
j’saute par-dessus l’grillage, rien à foutre des barbelés
J’déchire mon survet, vaut mieux ça que m’faire féconder
J’atterris dans un vieil endroit, sûrement un entrpôt
La porte est fermée, j’pète le carreau
Je m’introduis discrètement, j’vérifie si y’a des gens
Y’a personne j’trérant, en plus au moin j’les entends
Rappliquer, faut pas qu’j’reste là, enfermé.
Si j’reste ici, j’suis coincé, j’aurais aucun moyen de pouvoir me tailler
J’monte des escaliers, j’ouvre la porte, j’arrive sur le toit
J’les aperçois, ils sont en bas, j’ferme la porte derrière moi
Ils forcent la porte, j’cherche une solution, j’mate les alentours
Ca s’est joué à une seconde avant qu’j’grille l’échelle de secours
Bon à la prochaine, faut que je retrouve mes tepos
J’finirais pas dans la Seine, victime de la folie des fachos,
Victime de la folie des fachos.
{au Refrain, x2}
J’démarre au car de tour sur les chapeaux d’roues
Sans détour, ça sent la poudre, où est donc passé le reste de mon crew?
Tuni et Blacko, j’crois que quelqu’un à du teka de son téco c’est
Chacun pour sa peau, ces ambiances là, j’les nais-co
C’est qu’au moment où j’te sais-co, les rotca sont presque cuites
Qu’on va faire ser-cour par une bande de
M’ont suivi à la trace, un rebeu comme gibier, ça les mets en trense
C’est ciré, vicié, transpiré, ça m’laisse pas l’choix
J’me vesqui sur la droite, dans cette rue étroite ma foi
Ca semblait être la bonne planque, c’est là qu’j’me planque
Non c’est un cul de sac, on aura y’a beaucoup ça
Si j’me fairais c’est un massacre assuré
Le genre de pensées qui peut pas rassurer
Ces daillés, j’les entends déjà brailler "sale biko on va l’tailler"
Ma dernière chance une simple gouttière,
Je m’agrippe et je grimpe, ou sinon ça s’finit au cimetière
Bénédiction, j’y crois pas un instant et j’entends "prend-la"
C’est pas possible Tuni, bordel de merde qu’est-ce que tu fous là
"Aket passe moi la patte, on s’arrache d’ici dis-leur bye-bye,
Ramasse un zola, si on veut les savat allez viens on s’taille"
Faut qu’on retrouve Blacko,
Je finirais pas dans la Seine victime de la folie des fachos.
Là y’a pas moyens j’tailla tour a lo mejor
Ma paire de San Smith,
Comme complice face aux skins qui m’collent aux seufs
Pour qu’on court là où on est sauve moi et mes reufs
Mec mec, il me faut une planque,
Il faut que j’y aille sans qu’ils
Me voient pour m’poser tranquille
Dès qu’ils seront assez loin ces salaud
Pour l’moment j’cours au galop
Comme un ouf, de plus j’ai mal au
Genou, géné, je n’ai qu’à m’cacher sous une ture-voi
Avec un peu de chance, ils passeront, ils ne me verront même pas
Ils tracent tout droit, d’la bale, j’suis même pas tricard
Tout s’déroulait comme prévu jusqu’à ce que cette voiture démarre
Je sors de là-dessous, avant qu’elle m’roule dessus
Mais nos skins là-dessous, sont là ils m’tombent dessus
Me faire la peau, c’est tout ce dont ils ont envie.
Va falloir s’goumer pour rester en vie.
Me voilà face à face aux 3 têtes blanches et rasées d’près
Ah ouais ma bouille ce soir pas d’chance à croire que tout est fait exprès
J’aurais dû rester chez oim, rester posé devant la télé
J’étais parti pour voter, décumer mon cul, j’me mange une mêlée
Ces fellés, ont dû prendre ma gueule pour un ballon de foot
Je voyais déjà mon cadavre allongé sur l’côté d’la route
J’suis mal barré, faut faire mon skeup,
Faut que j’retrouve mes tepos
J’finirais pas dans la Seine, victime de la folie des fachos.
{au Refrain, x2}
Moi direct, j’tape la fuite, j’trace tout droit le plus vite possible
Les nos qui sont à mes trousses, ils m’ont pris pour cible
J’arrive dans une impasse, j’suis coincé
J’mate autour de moi, rien à faire, merde j’suis bel et bien bloqué
j’saute par-dessus l’grillage, rien à foutre des barbelés
J’déchire mon survet, vaut mieux ça que m’faire féconder
J’atterris dans un vieil endroit, sûrement un entrpôt
La porte est fermée, j’pète le carreau
Je m’introduis discrètement, j’vérifie si y’a des gens
Y’a personne j’trérant, en plus au moin j’les entends
Rappliquer, faut pas qu’j’reste là, enfermé.
Si j’reste ici, j’suis coincé, j’aurais aucun moyen de pouvoir me tailler
J’monte des escaliers, j’ouvre la porte, j’arrive sur le toit
J’les aperçois, ils sont en bas, j’ferme la porte derrière moi
Ils forcent la porte, j’cherche une solution, j’mate les alentours
Ca s’est joué à une seconde avant qu’j’grille l’échelle de secours
Bon à la prochaine, faut que je retrouve mes tepos
J’finirais pas dans la Seine, victime de la folie des fachos,
Victime de la folie des fachos.
{au Refrain, x2}
J’démarre au car de tour sur les chapeaux d’roues
Sans détour, ça sent la poudre, où est donc passé le reste de mon crew?
Tuni et Blacko, j’crois que quelqu’un à du teka de son téco c’est
Chacun pour sa peau, ces ambiances là, j’les nais-co
C’est qu’au moment où j’te sais-co, les rotca sont presque cuites
Qu’on va faire ser-cour par une bande de
M’ont suivi à la trace, un rebeu comme gibier, ça les mets en trense
C’est ciré, vicié, transpiré, ça m’laisse pas l’choix
J’me vesqui sur la droite, dans cette rue étroite ma foi
Ca semblait être la bonne planque, c’est là qu’j’me planque
Non c’est un cul de sac, on aura y’a beaucoup ça
Si j’me fairais c’est un massacre assuré
Le genre de pensées qui peut pas rassurer
Ces daillés, j’les entends déjà brailler "sale biko on va l’tailler"
Ma dernière chance une simple gouttière,
Je m’agrippe et je grimpe, ou sinon ça s’finit au cimetière
Bénédiction, j’y crois pas un instant et j’entends "prend-la"
C’est pas possible Tuni, bordel de merde qu’est-ce que tu fous là
"Aket passe moi la patte, on s’arrache d’ici dis-leur bye-bye,
Ramasse un zola, si on veut les savat allez viens on s’taille"
Faut qu’on retrouve Blacko,
Je finirais pas dans la Seine victime de la folie des fachos.