Les paroles de la chanson
« Tout donné »
Johnny Hallyday
J’ai tout laissé
J’ai tout donné
Tout partagé l’amour
La haine pas la fierté
Je tiens toujours mes chiens en laisse
J’ai plus de nom, j’ai plus d’ami, j’suis sans adresse
Jamais, jamais, je ne trahis mes sens
Et si je brille quelquefois par mes absences
Chacun de nous a les maux qu’il a choisis
Au jour le jour je vis ma vie
J’en paye le prix
Destinée, c’est l’envers du décor
Un monde à part où sont exclus les remords
Et si je dérange, si je refuse de me taire
Un feu me brûle, on parlera d’enfer
Seul, oui, je fais face
Je suis à ma place
Rien d’anormal, le bien le mal
Je le dépense, tout en lésant
Je prends, je jette
Rien ne m’arrête
Oh non!
Rock’n’roll!
Je suis issu des murs d’en face
En cage de peintures et de crasse
La violence des idées qui informent
Face aux préjugés qui déforment
Après cela le mal de vivre
Quand nos promesses trouvent une raison
Et puis pour moi en prison
La rage des sans espoir me rend ivre
La misère au quotidien
L’avenir sans devenir
N’être que des chiens
Toujours prêts à bondir
Qui aboient pour s’en sortir
Sortir d’ici pour jamais faiblir
Ne jamais fléchir... hé
Pour ne pas mourir, non
J’ai tout donné
Tout partagé l’amour
La haine pas la fierté
Je tiens toujours mes chiens en laisse
J’ai plus de nom, j’ai plus d’ami, j’suis sans adresse
Jamais, jamais, je ne trahis mes sens
Et si je brille quelquefois par mes absences
Chacun de nous a les maux qu’il a choisis
Au jour le jour je vis ma vie
J’en paye le prix
Destinée, c’est l’envers du décor
Un monde à part où sont exclus les remords
Et si je dérange, si je refuse de me taire
Un feu me brûle, on parlera d’enfer
Seul, oui, je fais face
Je suis à ma place
Rien d’anormal, le bien le mal
Je le dépense, tout en lésant
Je prends, je jette
Rien ne m’arrête
Oh non!
Rock’n’roll!
Je suis issu des murs d’en face
En cage de peintures et de crasse
La violence des idées qui informent
Face aux préjugés qui déforment
Après cela le mal de vivre
Quand nos promesses trouvent une raison
Et puis pour moi en prison
La rage des sans espoir me rend ivre
La misère au quotidien
L’avenir sans devenir
N’être que des chiens
Toujours prêts à bondir
Qui aboient pour s’en sortir
Sortir d’ici pour jamais faiblir
Ne jamais fléchir... hé
Pour ne pas mourir, non