Les paroles de la chanson
« Tout affronter »
Cupofty
J’en ai marre d’être sentimental,
De me lever de voir que tout va mal,
D’avancer pas à pas vers la lumière,
De tout essayer, ne pas faire marcher arrière,
Et même si on m’explique qu’il faut lutter,
Je dois trouver un rythme et tout affronter,
Accepter les critiques sans tout envoyer chier,
On a pas le choix, il faut jouer pour gagner.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
J’en ai marre de toutes ses sensations,
Que je ressens en moi et qui me donne l’impression
D’être un moins que rien et de passer pour un con
A chaque fois que je parle, que je donne mon opinion,
Le mal s’empare de moi, les idées noirs m’obsèdent,
J’ai personne en qui croire tout me monde à la tête.
Il faut que je respire, que je me force à parler,
Je n’ai pas envie de me dire que mes jours sont comptés.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
Tout est confus, et ma tête perd tout ses moyens.
Tout est confus, j’ai beau tout faire ça ne change rien.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
De me lever de voir que tout va mal,
D’avancer pas à pas vers la lumière,
De tout essayer, ne pas faire marcher arrière,
Et même si on m’explique qu’il faut lutter,
Je dois trouver un rythme et tout affronter,
Accepter les critiques sans tout envoyer chier,
On a pas le choix, il faut jouer pour gagner.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
J’en ai marre de toutes ses sensations,
Que je ressens en moi et qui me donne l’impression
D’être un moins que rien et de passer pour un con
A chaque fois que je parle, que je donne mon opinion,
Le mal s’empare de moi, les idées noirs m’obsèdent,
J’ai personne en qui croire tout me monde à la tête.
Il faut que je respire, que je me force à parler,
Je n’ai pas envie de me dire que mes jours sont comptés.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
Tout est confus, et ma tête perd tout ses moyens.
Tout est confus, j’ai beau tout faire ça ne change rien.
Mais si le temps, nous appartient, comment rédiger son destin,
Admettre nos rire et nos peurs, et mettre en avant le bonheur.
