Les paroles de la chanson
« Toujours à l'air libre »
Francis Lalanne
Un jour, c’est juré, je t’emmènerai
Loin des buildings et du bruit des cités
Loin des usines, des tours, des cheminées
Qui font partir tout le bleu du ciel en fumée
Libre, toujours à l’air libre
On s’en ira avant que tout soit terminé
Libre, toujours à l’air libre
On finira comme deux nouveau-nés
Il y aura des chevaux dans les prés
Et des chemins à l’abri des voitures,
Des oiseaux fous et des chiens sans collier,
Des animaux qui garderont leur fourrure
Je t’apprendrai à vivre sans compter,
Tu m’apprendras à parler sans rien dire
Et chaque instant sera l’éternité
Et chaque jour deviendra ton sourire
Libre, toujours à l’air libre
On s’en ira avant que tout soit terminé
Libre, toujours à l’air libre
On finira comme deux nouveau-nés
On s’en ira à gorge déployée
Chercher l’amour et trouver l’aventure
Et plus jamais je n’aurai à ployer
Sous le fardeau des lois contre nature
Un jour, c’est juré, je t’emmènerai
Loin de ce monde et du mal d’exister
Si tu viens et si tu m’attends
Pour tous les deux, ce sera toujours le printemps.
Loin des buildings et du bruit des cités
Loin des usines, des tours, des cheminées
Qui font partir tout le bleu du ciel en fumée
Libre, toujours à l’air libre
On s’en ira avant que tout soit terminé
Libre, toujours à l’air libre
On finira comme deux nouveau-nés
Il y aura des chevaux dans les prés
Et des chemins à l’abri des voitures,
Des oiseaux fous et des chiens sans collier,
Des animaux qui garderont leur fourrure
Je t’apprendrai à vivre sans compter,
Tu m’apprendras à parler sans rien dire
Et chaque instant sera l’éternité
Et chaque jour deviendra ton sourire
Libre, toujours à l’air libre
On s’en ira avant que tout soit terminé
Libre, toujours à l’air libre
On finira comme deux nouveau-nés
On s’en ira à gorge déployée
Chercher l’amour et trouver l’aventure
Et plus jamais je n’aurai à ployer
Sous le fardeau des lois contre nature
Un jour, c’est juré, je t’emmènerai
Loin de ce monde et du mal d’exister
Si tu viens et si tu m’attends
Pour tous les deux, ce sera toujours le printemps.