Les paroles de la chanson
« Toi, toi, toi (maman) »
Maurice Chevalier
Je ne sais comment te dire ces choses
Elles m’étouffent comme un sanglot
Pourtant, ce soir, il faut que j’ose
T’ouvrir mon cœur à plein flot
Il contient tant de reconnaissance
Pour ce qu’en moi tu as su créer
Et je sais bien que mon existence
Se passera à te vénérer
Toi, toi, toi
J’ai besoin de t’exprimer, te traduire
Toi, toi, toi
Oui, mais les mots auront peine à suffire
Mon respect, mon amour, mon amie, ma fierté
Ma raison, mon travail, mon but, ma liberté
Toi, toi, toi
L’impression de ton regard qui se voile
Une étoile
Maman, c’est toi, toi, toi!
Je te revois timide et si belle
La bonté habitait ton regard
J’agissais mal, tu étais celle
Qui m’excusait sans retard
Quand je t’ai perdue, je peux le dire
Le désespoir me fut révélé
Jusqu’au soir où, grand Dieu, j’ai vu luire
Tout ému, dans le ciel constellé
Toi, toi, toi
Depuis ce jour, sans chagrin, sans détresse
Toi, toi, toi
Je t’ai suivie, consultée sans tristesse
Du renfort, de là-haut, tu m’en as tant donné
Tu m’as tant consolé, jamais abandonné
Toi, toi, toi
Et jusqu’au jour où tombera ma toile
Mon étoile
Maman, sera toi, toi, toi!
Toi, toi, toi!
Toi, toi, toi!
Du renfort, de là-haut, tu m’en as tant donné
Tu m’as tant consolé, jamais abandonné
Toi, toi, toi
Et jusqu’au jour où tombera ma toile
Ma bonne étoile
Maman, sera toi, toi, toi!
Elles m’étouffent comme un sanglot
Pourtant, ce soir, il faut que j’ose
T’ouvrir mon cœur à plein flot
Il contient tant de reconnaissance
Pour ce qu’en moi tu as su créer
Et je sais bien que mon existence
Se passera à te vénérer
Toi, toi, toi
J’ai besoin de t’exprimer, te traduire
Toi, toi, toi
Oui, mais les mots auront peine à suffire
Mon respect, mon amour, mon amie, ma fierté
Ma raison, mon travail, mon but, ma liberté
Toi, toi, toi
L’impression de ton regard qui se voile
Une étoile
Maman, c’est toi, toi, toi!
Je te revois timide et si belle
La bonté habitait ton regard
J’agissais mal, tu étais celle
Qui m’excusait sans retard
Quand je t’ai perdue, je peux le dire
Le désespoir me fut révélé
Jusqu’au soir où, grand Dieu, j’ai vu luire
Tout ému, dans le ciel constellé
Toi, toi, toi
Depuis ce jour, sans chagrin, sans détresse
Toi, toi, toi
Je t’ai suivie, consultée sans tristesse
Du renfort, de là-haut, tu m’en as tant donné
Tu m’as tant consolé, jamais abandonné
Toi, toi, toi
Et jusqu’au jour où tombera ma toile
Mon étoile
Maman, sera toi, toi, toi!
Toi, toi, toi!
Toi, toi, toi!
Du renfort, de là-haut, tu m’en as tant donné
Tu m’as tant consolé, jamais abandonné
Toi, toi, toi
Et jusqu’au jour où tombera ma toile
Ma bonne étoile
Maman, sera toi, toi, toi!