Les paroles de la chanson
« Toi, le refrain de ma vie »
Joe Dassin
J’ai gravé quelques cœurs sur quelques arbres
Sur du sable, sur du marbre
Sur des coins de tables d’écoliers
J’ai cru en presque toutes mes histoires
A des amours derisoires
Qui ne passaient même pas l’été
Mais c’était de toi que je rêvais
C’était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
J’ai gravé quelques cœurs dont il ne reste
Le plus souvent que la flèche
Qu’un peu d’amertume ou de remords
La veille au soir on lui a dit: "Je t’aime"
Le matin on ne sait même
Plus le prénom de celle qui dort
Mais c’était de toi que je rêvais
C’était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus tu es bien là
Mais je continue à rêver de toi
Il est fini le temps des aventures
Des conquêtes, des ruptures
Des carnets d’adresses bien remplis
Le temps des pleurs au bout du téléphone
Le temps des retours d’automne
Il n’est pas perdu puisqu’aujourd’hui
Je vois bien que mon rêve était vrai
Que c’était toi dont je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus tu es bien là
Et je continue à rêver de toi
Sur du sable, sur du marbre
Sur des coins de tables d’écoliers
J’ai cru en presque toutes mes histoires
A des amours derisoires
Qui ne passaient même pas l’été
Mais c’était de toi que je rêvais
C’était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
J’ai gravé quelques cœurs dont il ne reste
Le plus souvent que la flèche
Qu’un peu d’amertume ou de remords
La veille au soir on lui a dit: "Je t’aime"
Le matin on ne sait même
Plus le prénom de celle qui dort
Mais c’était de toi que je rêvais
C’était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus tu es bien là
Mais je continue à rêver de toi
Il est fini le temps des aventures
Des conquêtes, des ruptures
Des carnets d’adresses bien remplis
Le temps des pleurs au bout du téléphone
Le temps des retours d’automne
Il n’est pas perdu puisqu’aujourd’hui
Je vois bien que mon rêve était vrai
Que c’était toi dont je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c’était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus tu es bien là
Et je continue à rêver de toi