Les paroles de la chanson
« Tico-tico »
Jacques Helian
Tico-Tico par-ci, Tico-Tico par-là
Dans tout Séville, on n’entend plus que ce nom-là
Il passe par ici, il va passer par là
Comme il est beau dans son costume de gala!
Coiffé d’un sombrero, les cuisses bien à plat
Sur son cheval, il se promène à petits pas
De sa moustache en croc lustrée de gomina
Il fait rêver tous les jupons de la rambla.
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu’il faisait la traite des noirs à Buenos Aires
Et patati et patata, dans la maison qu’il habita
Tout le gratin de l’Alcala y défila
Tico-Tico devint l’unique légataire
De son magot, de son cheval et de ses terres
Il peut garder devant chacun son sombrero
C’est un vrai caballero, Tico-Toco.
Tico-Tico par-ci, Tico-Tico par-là
Mais que fait-il exactement ce garçon-là?
Sur le coup de midi, il prend son malaga
Pour remplir toute une journée ça n’suffit pas
Pour être plus précis, un jour on le pressa
De s’expliquer à la police sur son cas
Mais un gendarme dit quand on le relâcha :
"Il n’y avait vraiment pas d’quoi fouetter un chat... "
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu’il faisait la traite des noirs à Buenos Aires
Tico-Tico par correction a pris la même profession
Mais il a dû, pour son honneur, changer d’couleur
Et plein d’amour pour la maison de son grand-père
Il l’a toujours mais pour la rendre plus prospère
Il a seulement fait agrandir le numéro
C’est un vrai caballero, Tico-Tico
Dans tout Séville, on n’entend plus que ce nom-là
Il passe par ici, il va passer par là
Comme il est beau dans son costume de gala!
Coiffé d’un sombrero, les cuisses bien à plat
Sur son cheval, il se promène à petits pas
De sa moustache en croc lustrée de gomina
Il fait rêver tous les jupons de la rambla.
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu’il faisait la traite des noirs à Buenos Aires
Et patati et patata, dans la maison qu’il habita
Tout le gratin de l’Alcala y défila
Tico-Tico devint l’unique légataire
De son magot, de son cheval et de ses terres
Il peut garder devant chacun son sombrero
C’est un vrai caballero, Tico-Toco.
Tico-Tico par-ci, Tico-Tico par-là
Mais que fait-il exactement ce garçon-là?
Sur le coup de midi, il prend son malaga
Pour remplir toute une journée ça n’suffit pas
Pour être plus précis, un jour on le pressa
De s’expliquer à la police sur son cas
Mais un gendarme dit quand on le relâcha :
"Il n’y avait vraiment pas d’quoi fouetter un chat... "
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu’il faisait la traite des noirs à Buenos Aires
Tico-Tico par correction a pris la même profession
Mais il a dû, pour son honneur, changer d’couleur
Et plein d’amour pour la maison de son grand-père
Il l’a toujours mais pour la rendre plus prospère
Il a seulement fait agrandir le numéro
C’est un vrai caballero, Tico-Tico